La lutte pour les garderies
À l’image de la lutte pour les droits des femmes, l’histoire des garderies au Québec est faite d’avancées et de reculs.
À l’image de la lutte pour les droits des femmes, l’histoire des garderies au Québec est faite d’avancées et de reculs.
Normalement caractérisées par la tranquillité de la vie rurale, de petites localités du Bas-Saint-Laurent et de la Gaspésie se sont activement battues dans les années 1970 pour échapper à leur fermeture.
L’histoire de la répression de la communauté homosexuelle est celle de la fermeture de ses lieux de rencontres.
Le mouvement antifasciste a rallié les antiracistes radicaux sur fond de musique punk.
Les institutions ont abandonné certaines couches de la population pour qui l’émeute est devenue la seule option.
En remettant en question les inconscients de la culture patriarcale, l’auteure exhortait les femmes à s’émanciper de la «langue de l’occupant».
Depuis un siècle, bon nombre de conflits ont opposé les Premières Nations au gouvernement du Québec. Les évènements de 1981 à Listuguj, en Gaspésie, ont pavé la voie à la reconnaissance des droits ancestraux des peuples autochtones.
Écrire l’histoire, plutôt que de la subir: c’est ce qu’ont fait les travailleurs de Tricofil en prenant le contrôle de leur usine, qui menaçait de fermer. Retour sur l’une des plus importantes expériences d’autogestion ouvrière au Québec.
La collectivité avant l’individu: c’était le mode de fonctionnement prôné par la communauté de Guyenne, avant que les impératifs du capitalisme ne la rattrapent. Retour sur l’expérience originale—certains diront utopique—de cette colonie abitibienne.
Il a été long et sinueux, le chemin qui a mené les femmes à disposer du libre-choix quant à la poursuite ou non de leur grossesse. Récit d’un chapitre déterminant de cette victoire jamais complètement acquise: le cas Chantale Daigle.