Opacité dans la cité
La politique municipale est supposément la plus accessible aux citoyen·ne·s. les faits, une fois nos représentant·e·s démocratiquement choisi·e·s, nous n’avons à peu près plus accès aux processus décisionnels.
La politique municipale est supposément la plus accessible aux citoyen·ne·s. les faits, une fois nos représentant·e·s démocratiquement choisi·e·s, nous n’avons à peu près plus accès aux processus décisionnels.
L’Est de Montréal tente de changer de visage en misant sur les technologies vertes. Mais pour concrétiser ses rêves d’avenir, il doit d’abord se débarrasser des cicatrices du passé.
Au sein des organismes non gouvernementaux (ONG), le processus de collecte de fonds s’est profondément modifié. Après le publipostage et les grands évènements médiatiques comme les téléthons, qui prévalaient dans les années 1980, la tendance est désormais au recrutement de donateurs dans la rue.
Désirant venir au secours des abeilles, un nombre grandissant de citoyen·ne·s se lancent dans l’apiculture urbaine. Et si cet engouement provoquait plus de problèmes qu’il n’en réglait?
Animal qui symbolise plus que tout autre les grands espaces du Nord, le caribou migrateur agonise. Son déclin fragilise les communautés vivant dans la forêt boréale et la toundra, où la chasse au caribou est au cœur de l’équilibre alimentaire, communautaire et culturel.
Maude et Philippe, un couple de trentenaires montréalais, se sont liés d’amitié avec un militant des droits de la personne, à Alep: Feras Darwish. Avec l’aide de quelques amis, ils se sont mobilisés pour que celui-ci puisse trouver refuge au Canada, avec sa femme et ses trois enfants. Mais le parrainage privé, encouragé par le gouvernement, est un vrai parcours du combattant. Nouveau Projet a suivi le dossier pendant près de six mois.
Le mouvement coopératif est inscrit dans l’ADN québécois: près de 600 00 personnes font chaque année le choix de l’habitat communautaire. Mais la vie en collectivité ne convient pas à tout le monde.
Abonnée au palmarès des villes les plus heureuses du Québec, Rimouski n’a apparemment aucun des désavantages de l’urbanité: fluidité routière, stationnement abondant, services et commerces accessibles. Cela n’a pas empêché la mobilisation de citoyens, qui, depuis dix ans, défendent une vision différente du bienêtre et travaillent à la transition environnementale de la municipalité. Ici, point de prolongement de métro ni de réseaux électrique métropolitain, de piétonisation ni de Bixi. Comment, alors, se vit la transition hors des grands centres?
Le nucléaire est souvent présenté comme une source d’énergie propre. Pourtant, dans les faits, on ne sait toujours pas comment gérer les déchets qu'il génère.