Les principes qui guident Michèle Ouimet
Ses reportages et enquêtes terrain nous ont raconté le monde dans ses moments les plus difficiles : la journaliste nous présente quelques-uns des principes qui guident ses actions.
Ses reportages et enquêtes terrain nous ont raconté le monde dans ses moments les plus difficiles : la journaliste nous présente quelques-uns des principes qui guident ses actions.
Notre incapacité à penser le suicide comme une décision lucide nous empêche-t-elle de nous engager plus profondément dans nos vies?
Votre sélection hebdomadaire des textes qui ont attiré l’attention de l’équipe de Nouveau Projet.
C’est l’histoire d’un homme qui aimait Serge Reggiani et Supertramp, qui était médecin en soins palliatifs, et qui a finalement opté pour l’aide médicale à mourir. Dans le premier chapitre de «Mettre la mort à l’agenda», l’auteur de notre Document 23 se remémore les derniers instants passés avec son père.
On tapote l’écran de nos cellulaires pour faire défiler la vie des autres sur les réseaux sociaux. Que ce soit pour procrastiner ou pour tuer le temps, le geste reste le même. Spontané, machinal. Mais ce réflexe exacerbe notre fatigue numérique, selon Véronique Grenier, l’autrice de «À boutte», notre Document 22. En voici un extrait.
Parce qu’on croit l’état du monde déterminé, le courage de renverser l’ordre établi nous manque souvent. Pourtant, le monde n’a cessé—et ne cessera pas—de changer. Nous ne devrions jamais douter, même en ces temps pessimistes, de notre capacité à transformer le cours de l’histoire.
L’autrice d’«Habiter une cage ouverte» a le don de mettre en dialogue des philosophes de l’Antiquité et la littérature actuelle. Dans cet extrait de notre Document 24, elle crée justement des liens entre Sénèque et Élise Gravel.
Réfléchir à la fatigue, c’est d’abord et avant tout chercher à la circonscrire. C’est la tâche à laquelle Véronique Grenier s’est attelée pour pondre notre Document 22. Un ouvrage étonnant où se côtoient Kant et Rihanna.
Dans cette chronique aux allures de bilan, notre rédacteur en chef s’interroge sur notre insatiable besoin de renouveau.
En 1845, le philosophe allemand Max Stirner s'interrogeait sur le sens de la liberté dans ce texte encore très actuel. En voici un extrait, précédé d'une introduction de Catherine Dorion.
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