À boutte

Une exploration de nos fatigues ordinaires

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La technologie ne nous a pas libéré·e·s de nos quotidiens surchargés, contrairement à ce qu’on nous avait promis. Et il ne semble pas y avoir assez de café et de boissons énergisantes pour transcender la fatigue des jours et de nos vies numériques.

Véronique Grenier se lance dans une «odyssée de la fatigue» pour explorer ce qu’elle appelle nos fatigues ordinaires, celles qui nous sont intimes, mais qui nous définissent aussi socialement. Car être fatiqué·e, c’est être occupé·e, et regarder nos fatigues, c’est affronter notre rapport au temps.

Pourquoi sommes-nous à ce point épuisé·e·s? Certaines fatigues nous dépassent-elles? Avons-nous un peu de prise sur elles? L’autrice, «fatiguée depuis l’enfance», cherche à répondre à ces questions et en profite pour parler de parentalité, de luttes et de vêtements mous.

Véronique Grenier enseigne la philosophie au collégial et est l’autrice de plusieurs livres et articles.

Les textes

  •  credit: Illustration: Gabriel Sabourin
    Art de vivre

    La dictature du fil d’actualité

    On tapote l’écran de nos cellulaires pour faire défiler la vie des autres sur les réseaux sociaux. Que ce soit pour procrastiner ou pour tuer le temps, le geste reste le même. Spontané, machinal. Mais ce réflexe exacerbe notre fatigue numérique, selon Véronique Grenier, l’autrice de «À boutte», notre Document 22. En voici un extrait.

  •  credit: Photo: Marie-Ève Rompré
    Art de vivre

    Véronique Grenier: écrire pour apaiser

    Réfléchir à la fatigue, c’est d’abord et avant tout chercher à la circonscrire. C’est la tâche à laquelle Véronique Grenier s’est attelée pour pondre notre Document 22. Un ouvrage étonnant où se côtoient Kant et Rihanna.

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