Nouveau Projet se transforme en OBNL
Dans moins d’un an, «Nouveau Projet» quittera Atelier 10 et s’envolera vers encore plus d’indépendance, dans un organisme créé juste pour lui.
Dans moins d’un an, «Nouveau Projet» quittera Atelier 10 et s’envolera vers encore plus d’indépendance, dans un organisme créé juste pour lui.
Dans son documentaire «Le plein potentiel», la cinéaste Annie St-Pierre infiltre l’industrie du bienêtre. À travers elle, on se promène des bains d’eau glacée à la zoothérapie, en passant par le sadomasochisme et la rigolothérapie. Vaste programme, comme on dit.
Alors que les prochaines élections municipales se profilent, celui qui a été maire de l’arrondissement Rosemont–La Petite-Patrie, à Montréal, pendant 12 ans plaide pour une plus grande autonomie des Villes face aux crises de notre époque. Il est l’auteur de notre nouveau «Document».
Et si la solution à la crise du logement passait par la reconversion d’immeubles vacants?
Moins d’un an après avoir été sacré «magazine de l’année au Canada» au Prix du magazine canadien, voilà que Nouveau Projet est encore en lice pour cette prestigieuse récompense. C’est inouï. Le magazine récolte un total de cinq nominations toutes catégories confondues.
Qui a encore peur des pleureuses en 2025? Inspirée par sa mère qui incarne cet archétype lorsqu’elle porte le deuil, notre collaboratrice sonde notre rapport collectif et intime aux débordements.
Face à la crise climatique qui menace de tout détruire, ce professeur a choisi la voie de l’action syndicale—et de l’espoir.
La Ville de Laval cherche à développer sa mobilité active, mais non sans rencontrer quelques défis. Tour d’horizon.
Qu’est-ce que les récits de non-parents peuvent nous apprendre sur ce qui motive le désir d’avoir des enfants?
Les cégeps, créés en 1967, ont été des vecteurs importants de mobilité sociale pour plusieurs générations de Québécois·es. Presque 60 ans plus tard, il faut nous demander ce que nous sommes prêt·e·s à faire pour qu’ils le demeurent.
Il faut peut-être vivre une vie de femme pour comprendre que la misogynie n’est jamais ironique.