Denis Côté: le cinéaste affranchi
Le réalisateur de Curling et Répertoire des villes disparues revient de loin, et c’est précisément ce qu’il raconte dans son essai à paraitre dans «Nouveau Projet 28.» En voici un avant-gout.
Le réalisateur de Curling et Répertoire des villes disparues revient de loin, et c’est précisément ce qu’il raconte dans son essai à paraitre dans «Nouveau Projet 28.» En voici un avant-gout.
Avec un humour mordant et une grande liberté de ton, Camille Giguère-Côté nous invite à lutter contre les mille nuances de beige qui envahissent notre existence. Extrait du «Show beige», prochain titre à paraitre dans notre collection «Pièces».
À Montréal, c’est à Cité-des-Prairies que sont exécutées les peines les plus sévères prévues par la Loi sur le système de justice pénale pour les adolescents. Avec la complicité de l’illustratrice Alexandra Dion-Fortin, le sociologue Nicolas Sallée dévoile l’équilibre fragile d’un lieu dont la structure carcérale contredit constamment les visées de réhabilitation.
Dans «Personne ne s’excusera», Aurélie Lanctôt aborde de front une contradiction profonde dans notre conception de la justice: que pour prévenir la violence, nous acceptions de l’exercer à notre tour par l’intermédiaire du système pénal de l’État, et d’ainsi participer à sa reproduction dans notre société.
Près de dix ans après avoir parcouru les réserves autochtones du Québec, Philippe Ducros a fait de sa pièce «La cartomancie du territoire» un film, qui sera projeté pour la première fois dans le cadre du Festival de Cinéma de la Ville de Québec. À cette occasion, voici la première scène du texte original, publié dans notre collection «Pièces».
Une histoire familiale multiculturelle, un réseau stimulant et des talents variés: la créativité du jeune comédien et auteur de «Chevtchenko», prochaine pièce à paraitre chez Atelier 10, s’abreuve à de nombreuses sources et promet le meilleur pour l’avenir.
Debbie Lynch-White se réapproprie les insultes qui ont été proférées à son endroit dans ce texte qui place un projecteur sur l’horreur de la violence verbale. Des mots écrits en guise de contrepoint pour «Pisser debout sans lever sa jupe» d’Olivier Arteau, notre «Pièce 38».
Les gens qui ont voyagé le savent: s’il y a bien quelque chose d’universel, en ce bas monde, c’est la laideur des chemins qui mènent des aéroports aux centres des villes. Dans «La vie habitable», notre «Document 06», la femme de théâtre Véronique Côté s’intéresse au morne décor des banlieues.
Et si notre plus grande erreur avait été de tenir la démocratie pour acquise? Dans cet extrait de «Prendre part», notre «Document 18», les professeurs de philosophie David Robichaud et Patrick Turmel nous pressent de la mettre sous clé avant qu’il ne soit trop tard.
Inspirée par sa mère qui était atteinte de la maladie d’Alzheimer, l’autrice de notre «Document 10» sonde notre rapport à la mémoire. Qu’en reste-t-il à l’ère numérique? Voici un extrait de l’essai «Un présent infini,» publié chez Atelier 10.
Que ce soit comme dramaturge, comme interprète ou comme directeur artistique, on a beaucoup entendu parler du travail d’Olivier Arteau ces dernières années. Sa plus récente création, «Pisser debout sans lever sa jupe» est le 38e titre de notre collection «Pièces».