La culture du bannissement de la droite devrait nous effrayer
C’est désormais à des catégories sociales entières que s’attaque la droite. Mais nous avons encore le pouvoir de résister au délire psychotique qu’est devenu l’internet.
C’est désormais à des catégories sociales entières que s’attaque la droite. Mais nous avons encore le pouvoir de résister au délire psychotique qu’est devenu l’internet.
Comment concilier les deux crises qui nous accablent présentement, soit celles des médias et du climat? Notre chroniqueur a pris le pouls d’un domaine en pleine expansion dans les salles de nouvelles: le journalisme environnemental.
Faillite de Vice, fermeture de la salle de rédaction de BuzzFeed News, disparition du «Voir» et suppressions de postes au «24 heures»: ici comme ailleurs, les médias d’information peinent à fidéliser les jeunes. Faut-il tirer la sonnette d’alarme?
Tandis que le mouvement #MoiAussi tente timidement de se frayer un chemin vers la patinoire, Thomas Leblanc se questionne sur la culture du silence qui gangrène le milieu du hockey. L’omniprésence de ce sport dans nos médias a-t-elle contribué à créer un climat d’impunité face aux comportements des jeunes athlètes?
L’impact de l’inflation sur notre garde-manger est un sujet récurrent au radiojournal, autour de la machine à café du bureau, et même sur TikTok. Pourtant, l’insécurité alimentaire a toujours existé.
Une douche froide s’est abattue sur le Québec au début de l’année quand Rolling Stone a écarté Céline Dion de son palmarès des meilleur·e·s chanteur·euse·s de tous les temps. Une controverse à sens unique qui a mis en lumière le chauvinisme du lectorat québécois.
Au Québec, les personnes noires et autochtones ont une histoire similaire. Notre chroniqueuse a lu le premier livre du sociologue Philippe Néméh-Nombré, avec qui elle partage une aversion pour la doctrine de la découverte.
Les générations Y et Z n’écoutent pas la télévision québécoise. Soit. Mais n’est-ce pas parce que la télévision québécoise ne les écoute pas non plus?
À l’heure où la dernière COP en Égypte a fini dans l’impasse et que les militant·e·s écologistes s’en prennent symboliquement aux œuvres d’art, notre chroniqueur se demande ce que ça prendra pour que la classe politique prenne (enfin) la crise climatique au sérieux.
Déjà passablement affaiblie par la crise des médias, la presse culturelle québécoise se frotte maintenant aux artistes qui veulent se venger de ses mauvaises critiques. Un dangereux précédent créé par Guy Nantel, estime notre nouveau chroniqueur médias.
Cet été, je me suis mariée. Ce faisant, je suis entrée à pieds joints dans une institution bourgeoise, mais qui a le mérite de créer du sens dans un monde qui n’en fait pas toujours.