Paysage dans le brouillard
Pour le cinéaste Denis Côté, l’année 2024—couronnée par le prix Albert-Tessier pour l’ensemble de son œuvre—aura été comme un cadeau, à la suite d’une greffe de rein salvatrice. Journal en bribes.
Pour le cinéaste Denis Côté, l’année 2024—couronnée par le prix Albert-Tessier pour l’ensemble de son œuvre—aura été comme un cadeau, à la suite d’une greffe de rein salvatrice. Journal en bribes.
Le réalisateur de Curling et Répertoire des villes disparues revient de loin, et c’est précisément ce qu’il raconte dans son essai à paraitre dans «Nouveau Projet 28.» En voici un avant-gout.
Une histoire familiale multiculturelle, un réseau stimulant et des talents variés: la créativité du jeune comédien et auteur de «Chevtchenko», prochaine pièce à paraitre chez Atelier 10, s’abreuve à de nombreuses sources et promet le meilleur pour l’avenir.
Comment réagir quand on apprend que l'avenir ne sera pas pour nous? Journal du temps qui se tarit trop vite.
Les parents auraient, selon l’autrice de notre «Document 26», tout avantage à s’inspirer de la permaculture pour élever leurs enfants. Une métaphore féconde, portée par une pédopsychiatre inquiète. Dans cet extrait de l’essai «Le drame des enfants parfaits», elle explique ce qui l’a poussée à prendre la plume.
Ou la culpabilité d’un fils (de préposé aux bénéficiaires) qui paie son loyer, et beaucoup de livraisons de burgers, en écrivant des blagues.
La grossophobie est un obstacle à l’empathie, et ça n’est jamais aussi apparent que lorsque les gens parlent de la mort de quelqu’un—qu’elle soit déjà arrivée ou imminente.
Elle a déménagé dans un autre décor, troquant les ruelles de la ville pour les piscines hors terre de la banlieue. Mais au fond, l’écrivaine n’a pas changé. Dans ses écrits comme dans la vie, c’est toujours son hypersensibilité qui la guide, qui la nourrit. Entretien avec l’autrice de la fiction de Nouveau Projet 24.
Intimité amputée, porno interdite, rapprochements réprimés. Le code de vie de certaines maisons de soins palliatifs complique l’accès au plaisir du corps. Pourtant, faire l’amour ou se masturber peut panser les maux.
Qui se préoccupe du bienêtre des femmes en périménopause? Au terme d’une épopée médicale pavée d’embuches, d’incompréhension et de doutes, l’autrice décortique son histoire pour tenter de comprendre ce qui lui est arrivé. Et depuis quelques mois, l’anxiété qui la paralysait s’est dissipée. Complètement.
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