Olivier Choinière: frissonner d’horreur, ensemble
Sur scène comme dans «Nouveau Projet», le dramaturge donne libre cours à sa passion pour les scénarios dystopiques et sanglants.
Sur scène comme dans «Nouveau Projet», le dramaturge donne libre cours à sa passion pour les scénarios dystopiques et sanglants.
Dans son documentaire «Le plein potentiel», la cinéaste Annie St-Pierre infiltre l’industrie du bienêtre. À travers elle, on se promène des bains d’eau glacée à la zoothérapie, en passant par le sadomasochisme et la rigolothérapie. Vaste programme, comme on dit.
Unique au monde, l’émission radiophonique «Souverains anonymes» donne un micro à des détenus (ceux de la prison de Bordeaux). Après avoir porté ce projet à bout de bras pendant 35 ans, le réalisateur et animateur Mohamed Lotfi s’apprête à tirer sa révérence. On l’a rencontré, et il a insisté pour qu’on le tutoie.
On peut être mère et tenir les nullipares en estime, et vice versa. En phase avec le commentaire de «Nouveau Projet 29», articulé autour de la production littéraire des femmes sans enfants, cette conversation entre Laurence Côté-Fournier (mère de trois enfants) et notre cheffe de pupitre numérique (mère de personne) vise à rapprocher ces deux solitudes.
Le réalisateur de Curling et Répertoire des villes disparues revient de loin, et c’est précisément ce qu’il raconte dans son essai à paraitre dans «Nouveau Projet 28.» En voici un avant-gout.
Chroniqueuse au Devoir depuis 40 ans et écrivaine à la bibliographie florissante, Josée Blanchette signe avec «Presque vierge» un livre qui risque de faire l’évènement. Dans ce récit autobiographique paru aux Éditions Druide, elle fait l’autopsie de la relation qu’elle a entretenue jeune, entre 15 et 20 ans, avec son professeur de philosophie.
L’écriture inclusive, les points médians et la graphie rectifiée se sont frayé un chemin jusqu’à la rédaction de «Nouveau Projet», sans pour autant faire l’unanimité au sein de notre équipe et de nos collaborateur·trice·s.
Pourquoi devrait-on choisir entre un rôle de journaliste ou d’écrivaine? Claudia Larochelle fait la démonstration qu’on peut être les deux tout à la fois, avec autant de talent. Dans son plus récent ouvrage, «Les Disgracieuses», elle se révèle comme jamais auparavant, dans une sorte d’impudeur qu’on ne lui connaissait pas.
«J’aime Hydro», depuis sa parution chez Atelier 10, a été vendu à plus de 20 000 exemplaires. Qu’est-ce qui explique le succès retentissant de cette pièce documentaire?
On la reconnait à son accent sis quelque part entre le Québec et la France, à ses prises de position parfois risquées, mais toujours livrées avec un calme désarmant, sur un ton mi-figue mi-raisin, sans malveillance aucune. Entrevue avec Léa Stréliski, collaboratrice de «Nouveau Projet 25».
Comme reporter, le québécois Frédérick Lavoie nage dans un couloir à part. Il se démarque de ses collègues grâce à sa plume soignée et sensible, sans jamais verser dans la mièvrerie pour autant.