Les affaires de notre temps
Merci aux matières naturelles fossilisées par des milliers d’années et aux métaux lourds extraits de la Terre.
Merci aux matières naturelles fossilisées par des milliers d’années et aux métaux lourds extraits de la Terre.
Nicolas Lauzon et son complice Alexandre Castonguay font un tabac lors d’une soirée poésie à micro ouvert.
D’Alfred Desrochers à Véronique Grenier en passant par Alexie Morin: les Cantons-de-l’Est sont une source d’inspiration pour ceux et celles qui écrivent.
Une collection de textes qui revêt des airs d’herbier, tant les feuillus et les conifères y occupent une place importante.
L’autrice de «Trente» et «Encore» tricote un poème inédit, aussi réconfortant qu’un pull enfilé par-dessus une robe-soleil pour apprivoiser l’automne.
Le nouveau recueil de Joséphine Bacon dit l’espoir qui s’effrite et le poids des années qui passent. À la fois graves et contemplatifs, brandis comme petite robe rouge au vent, ses plus récents poèmes questionnent sa faculté à pardonner, puis guérir. Mais lui reste-t-il seulement assez de temps?
La toponymie gaspésienne sonne déjà comme un poème. De Bonaventure à Penouille en passant par Pointe-à-la-Batterie, la péninsule est un terreau fertile pour ceux et celles qui écrivent.
Le Montréalais signe un poème inédit qui donne envie de fuir la ville, et de chérir nos liens filiaux.
Charlotte Francœur met sa prose à nu dans «Adieu les crevettes», un recueil de poésie articulé autour de la question de l’avortement. Peut-on parler d’un tel sujet avec poésie?
Un essai de Mickaël Bergeron sur la masculinité, un recueil de poésie de Laure Morali, une mise en scène d’Édith Patenaude chez Duceppe, un album de chansons signé Dumas, une série de paysages peints par Karine Locatelli… Voici ce qu’il faut surveiller en cette rentrée hivernale.