Falardeau, Farah et un mariage parfait
Entre humour, angoisse et mémoire familiale, Philippe Falardeau signe avec son adaptation de «Mille secrets mille dangers» un retour marquant au cinéma francophone.
Entre humour, angoisse et mémoire familiale, Philippe Falardeau signe avec son adaptation de «Mille secrets mille dangers» un retour marquant au cinéma francophone.
Si vous êtes à la recherche d’un bon plan cinéma-maison, vous l’avez trouvé: «Sorry, Baby», premier long-métrage de l’audacieux·se Eva Victor, qui dresse avec délicatesse et une pointe d’humour le portrait d’une jeune femme qui tente de reprendre pied après un traumatisme.
Quelques bons plans alors que s’entame la saison de cinéma la plus intéressante de l’année.
De retour de son périple au Royaume, Catherine Genest nous entretient du potentiel érotique des étoiles de mer.
C’est entre ces quatre murs que l’autrice et réalisatrice tisse ses histoires, les chapitres de ses romans comme les scénarios de ses films. Visite d’un véritable petit musée où elle a tout le loisir de poser ses yeux entre deux élans d’inspiration.
Propos recueillis par Catherine Genest
Les péplums hollywoodiens font courir les foules au Québec depuis toujours, mais un homme de cinéma, Hugo Latulippe en l'occurrence, appelle à la résistance culturelle. Voici un extrait de «Pour nous libérer les rivières», son essai paru chez Atelier 10.
Les trentenaires et quarantenaires de 2025 en arrachent-elles plus que leurs grands-mères?
Dans son documentaire «Le plein potentiel», la cinéaste Annie St-Pierre infiltre l’industrie du bienêtre. À travers elle, on se promène des bains d’eau glacée à la zoothérapie, en passant par le sadomasochisme et la rigolothérapie. Vaste programme, comme on dit.
Alan Lake a habitué le public à des chorégraphies spectaculaires, et sa nouvelle proposition ne déçoit pas.
Les courts métrages ont occupé le haut de l’affiche ces jours derniers avec REGARD, au Saguenay, et le FIFA, à Montréal. «Nouveau Projet» était des deux festivals, et voici les films qui s’y sont démarqués.
Dans «Une langue universelle», Matthew Rankin crée des ponts entre les solitudes, la belle province et le rest of Canada, et les gens qui parlent français, anglais et perse. Un long-métrage hors normes (son deuxième en carrière) qui vient confirmer son importance sur la scène cinématographique.