Le quotidien, cette épopée
On reproche aux utilisateurs du mot épique de l’employer dans des contextes qui n’ont vraiment rien de grandiose. Cette critique est-elle fondée?
On reproche aux utilisateurs du mot épique de l’employer dans des contextes qui n’ont vraiment rien de grandiose. Cette critique est-elle fondée?
Nous affrontons de moins en moins de problèmes, mais relevons de plus en plus de «défis». Que se cache-t-il derrière ce glissement?
Dans le langage courant, l’expression «être une machine» semble remplacer peu à peu le traditionnel «être une bête». Dans le domaine sportif, par exemple, le coureur est passé de «bête de course» à «machine à avaler les kilomètres». Comment expliquer notre admiration pour ceux et celles qui performent comme des machines?