Ce qu’on a vu—mai 2025
Montréal vibre au rythme du FTA, évènement théâtral attendu de pied ferme par les membres de notre équipe. Voici les spectacles qui nous ont impressionné·e·s jusqu’à présent.
Après avoir fait un tabac sur le circuit des festivals, en remportant notamment la Palme d’or à Cannes, le film Anora sort enfin en salle. Voici ce qu’on en a pensé.
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Modifier mes préférencesAnora, de Sean Baker
En salle
Une (très jeune) danseuse et parfois prostituée et un (très jeune) fils d'oligarque russe se rencontrent, mettant en marche une chaine d’évènements hors de leur contrôle. Est-ce l’amour? Peut-être. Ce que c’est certainement: la découverte du sexe, pour Ivan, et la découverte de l’argent, pour Anora. Rapidement, ils sont dans une petite chapelle de Las Vegas, vêtu·e·s de leurs plus beaux habits (pour sortir dans un bar), plongeant la famille d’Ivan dans une frénésie pour annuler le mariage. Ce film est plein de cœur, étonnamment drôle, et pétillant de vie. Le jeu de Mikey Madison—particulièrement dans le dernier tiers du film—est l’une des belles surprises cinématographiques de l’année, et marque les spectateur·trice·s bien après que le projecteur soit éteint.
— Clara Champagne, secrétaire de rédaction, Nouveau Projet
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On fait le plein de chansons en letton, en albanais et en allemand au lendemain de l’Eurovision. Pleins feux sur les artistes les plus avant-gardistes et musicalement intéressants du concours (parce que oui, il y en a).
Dans «Hewa Rwanda», le dramaturge et acteur kigalien Dorcy Rugamba jette un éclairage nouveau sur le génocide auquel il a échappé. D’ailleurs, le continent africain est très bien représenté à la 19e édition du FTA.
La primoromancière Myriam de Gaspé impressionne avec «L’embouchure», un livre traversé par le fleuve Saint-Laurent qui parait ces jours-ci aux éditions Les Herbes rouges.