L’utopie réelle de la postcroissance
L’économiste français expose sa conception de l’écologie politique et montre l’urgence de renverser le monde afin de le rendre habitable à nouveau.

Chroniqueuse au Devoir depuis 40 ans et écrivaine à la bibliographie florissante, Josée Blanchette signe avec Presque vierge un livre qui risque de faire l’évènement. Dans ce récit autobiographique paru aux Éditions Druide, elle fait l’autopsie de la relation qu’elle a entretenue jeune, entre 15 et 20 ans, avec son professeur de philosophie.
C’est toi, sur la couverture de Presque vierge. Te souviens-tu du moment où cette photo a été prise?
Je venais juste d’avoir 16 ans. J’étais allée dans un photomaton pour ma carte internationale d’étudiante, celle dont j’avais besoin pour aller dans les auberges de jeunesse.
J’ai commencé à écrire le livre quand mon fils avait 15 ans, et donc, il me ramenait des jeunes filles de 15 ans à la maison. Ça m’a confrontée. Je me reconnaissais en partie en elles, je voyais leur inexpérience. C’était frappant de pouvoir me dire: «OK, c’est de ça que j’avais l’air.»
Je tenais beaucoup à avoir cette photo en couverture. Pour qu’on comprenne. Parce qu’on comprend tout dans mon regard, mon visage. Je viens juste de coucher avec lui sur cette photo-là.
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La liste des défis auxquels font face les élu·e·s municipaux·ales ne cesse de s’allonger, des commentaires haineux sur les réseaux sociaux aux changements climatiques. Pourtant, des candidat·e·s continuent de se présenter—et de se représenter. «Nouveau Projet» est allé à leur rencontre pour les questionner sur les raisons de leur engagement.

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