L’utopie réelle de la postcroissance
L’économiste français expose sa conception de l’écologie politique et montre l’urgence de renverser le monde afin de le rendre habitable à nouveau.

Ici comme ailleurs, la question de l’identité de genre est devenue le point focal de débats publics enflammés. L’un·e des penseur·euse·s les plus influent·e·s dans ce domaine analyse ce phénomène.
Judith Butler compte parmi les penseur·euse·s les plus important·e·s de notre époque. Ses écrits se sont d’abord centrés sur le féminisme et le genre pour ensuite s’attarder à la violence, au langage, à l’activisme et à la solidarité. Ils ont alimenté de nombreuses luttes sociales et continuent de façonner le regard que nous posons sur le monde.
Quelques mois après avoir donné cette entrevue, Judith Butler a vu son nom être inclus dans une liste d’employé·e·s et d’étudiant·e·s s’étant prononcé·e·s contre le génocide à Gaza transmise à l’administration Trump par l’université de Californie à Berkeley. Une manifestation de plus de son engagement social et politique.
Dans cet entretien, donné dans la foulée de la parution de Who’s Afraid of Gender?—en traduction française, Qui a peur du genre? (Flammarion, 2024)—, Butler revient sur l’idéologie antigenre: les passions qui l’alimentent, les débats qu’elle court-circuite et son effet sur la dernière élection présidentielle américaine.
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L’économiste français expose sa conception de l’écologie politique et montre l’urgence de renverser le monde afin de le rendre habitable à nouveau.

La liste des défis auxquels font face les élu·e·s municipaux·ales ne cesse de s’allonger, des commentaires haineux sur les réseaux sociaux aux changements climatiques. Pourtant, des candidat·e·s continuent de se présenter—et de se représenter. «Nouveau Projet» est allé à leur rencontre pour les questionner sur les raisons de leur engagement.

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Dans «Peau à peau», sorti en salle le 3 octobre, la réalisatrice québécoise Chloé Cinq-Mars emprunte les codes du film d’horreur pour aborder de front la dépression postpartum. À travers l’histoire d’une jeune mère à la dérive, incarnée par Rose-Marie Perreault, elle en profite aussi pour pointer les lacunes criantes de la prise en charge des soins en santé mentale au Québec.