Sur scène comme dans Nouveau Projet, le dramaturge donne libre cours à sa passion pour les scénarios dystopiques et sanglants.
Tu signes la rubrique fiction du prochain numéro de Nouveau Projet avec un texte qui se présente sous la forme d’une courte pièce. Est-ce que c’est la première fois que tu exploites ce genre de format? Est-ce que ce genre de «nouvelle théâtrale» pourrait se retrouver sur les planches?
J’ai écrit plusieurs courtes pièces dans différents contextes. «Merci» devait faire partie d’un projet collectif autour de la nourriture et de la cuisine qui est tombé à l’eau. Je caresse l’idée d’écrire d’autres courtes pièces que je réunirais dans un spectacle et qui répondrait à cette simple question: «De quoi nos repas seront-ils faits demain?»
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Dans «Peau à peau», sorti en salle le 3 octobre, la réalisatrice québécoise Chloé Cinq-Mars emprunte les codes du film d’horreur pour aborder de front la dépression postpartum. À travers l’histoire d’une jeune mère à la dérive, incarnée par Rose-Marie Perreault, elle en profite aussi pour pointer les lacunes criantes de la prise en charge des soins en santé mentale au Québec.
La liste des défis auxquels font face les élu·e·s municipaux·ales ne cesse de s’allonger, des commentaires haineux sur les réseaux sociaux aux changements climatiques. Pourtant, des candidat·e·s continuent de se présenter—et de se représenter. «Nouveau Projet» est allé à leur rencontre pour les questionner sur les raisons de leur engagement.
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Dans son documentaire «Le plein potentiel», la cinéaste Annie St-Pierre infiltre l’industrie du bienêtre. À travers elle, on se promène des bains d’eau glacée à la zoothérapie, en passant par le sadomasochisme et la rigolothérapie. Vaste programme, comme on dit.