Biorégion ou barbarie
Et si le projet biorégional pouvait nous aider à traverser l’effondrement? Dans cet extrait de l’essai «Faire que!», récemment paru chez Lux Éditeur, l’auteur et philosophe Alain Deneault appelle à un certain retour à la terre.
Et si le projet biorégional pouvait nous aider à traverser l’effondrement? Dans cet extrait de l’essai «Faire que!», récemment paru chez Lux Éditeur, l’auteur et philosophe Alain Deneault appelle à un certain retour à la terre.
Alain Deneault envisage le territoire qu’il habite comme un laboratoire pour repenser nos urgences climatiques.
Alain Deneault, qui signe l’essai Mœurs récemment paru chez Lux Éditeur, s’interroge sur la notion de «privilège» martelée par les auteur·trice·s à la mode. Un mot qui relève d’une signification différente depuis quelques années. En voici un extrait légèrement réédité.
En dépit de notre obsession pour le libre arbitre, il est de ces données, comme la détérioration du climat, avec lesquelles il nous faut désormais composer.
«Le produit intérieur brut mesure tout, sauf ce qui fait que la vie vaut la peine d’être vécue», disait Robert Kennedy, quelques semaines avant sa mort en 1968. Apparu la décennie suivante, le concept de qualité de vie devait offrir une alternative au discours économique. Est-ce vraiment le cas?