Lettre ouverte aux gens qui courent
Pleins feux sur les passionné·e·s de jogging et leurs accessoires mode improbables.
Pleins feux sur les passionné·e·s de jogging et leurs accessoires mode improbables.
La rentrée scolaire nous pend au bout du nez et, avec elle, le retour de la routine effrénée qui rythme la vie de bon nombre de parents. Véronique Grenier témoigne des fatigues ordinaires qui nous affligent dans «À boutte,» le 22e titre de notre collection «Documents».
À l’heure où les unions libres sont légion au Québec, de (très) jeunes couples d’étudiant·e·s se marient encore pour les prêts et bourses. Analyse d’un phénomène anachronique.
Une reprise de bail peut être une tactique pour une augmentation de loyer déguisée. Voici les sept choses à vérifier pour ne pas se faire avoir.
Faut-il donner raison aux pamphlétistes de droite et aux rabat-joies qui disent que c’était mieux avant?
À l’aube de la sortie de son deuxième album solo, l’autrice-compositrice-interprète réfléchit à l’idée fixe, et vieille comme le monde, de la reproduction. À une ère où on parle de plus en plus—enfin!—de la liberté de choisir, les femmes qui s’abstiennent de devenir mères doivent-elles absolument être en paix avec leur décision?
On peut être mère et tenir les nullipares en estime, et vice versa. En phase avec le commentaire de «Nouveau Projet 29», articulé autour de la production littéraire des femmes sans enfants, cette conversation entre Laurence Côté-Fournier (mère de trois enfants) et notre cheffe de pupitre numérique (mère de personne) vise à rapprocher ces deux solitudes.
La montée en puissance de l’extrême droite en Europe est-elle le fait de leaders habiles ou le reflet fidèle des valeurs de l’électorat?
Et si les gangs d’ami·e·s sur Discord et sur Twitch se donnaient rendez-vous dans la rue?
L’effondrement arrive, a même possiblement déjà commencé. Plutôt que de nier le désastre, il est temps de préparer la suite en y consacrant tout ce qui nous reste de capacité à rêver.
Souvent, la mère et la nullipare mènent l’une contre l’autre une guerre sourde, chacune s’estimant plus heureuse, et parfois même plus brillante, que celle qui a fait le choix de vie inverse. Comment alors réconcilier ces deux solitudes?