Quelques adieux, en 2024
Quelques hommages à ceux et celles qui nous ont quittés cette année.
Quelques hommages à ceux et celles qui nous ont quittés cette année.
«La vérité est ailleurs.» La phrase culte de la série «The X-Files» semble être devenue le mantra d’une partie de la population mondiale. Sauf que les théories du complot ne se contentent plus d’interpréter les évènements: elles transforment la réalité qu’elles prétendent décrire. Alors quelles prises aurons-nous encore sur la vérité, en 2025?
La montée en puissance de l’extrême droite en Europe est-elle le fait de leaders habiles ou le reflet fidèle des valeurs de l’électorat?
Neuf de nos photojournalistes préféré·e·s partagent leurs images marquantes de 2024.
Un jeune avocat d’Amos brandit la richesse naturelle et culturelle de sa région natale pour résister au développement industriel tous azimuts.
Face à une recrudescence de l’exploration minière, les gens de la MRC d’Abitibi-Ouest s’organisent pour que la vocation nourricière de leurs sols soit préservée.
L’année 2024 est à marquer d’une pierre blanche dans l’histoire de Québec solidaire. Après une série de revers douloureux, le parti (ou son branding, à tout le moins) connait une forme de renaissance. Retour sceptique sur le virage pragmatique de QS.
Et si le projet biorégional pouvait nous aider à traverser l’effondrement? Dans cet extrait de l’essai «Faire que!», récemment paru chez Lux Éditeur, l’auteur et philosophe Alain Deneault appelle à un certain retour à la terre.
Pennsylvanie, 13 juillet 2024. Donald Trump, le poing levé et l’oreille en sang, se relève d’un bond après avoir échappé à une tentative d’assassinat. Accompagné de photos de presse archi marquantes, cet évènement a bouleversé les esprits et la campagne du moins momentanément, ainsi que le raconte Catherine Mavrikakis, dans cet extrait de «Sur les routes», paru aux éditions Héliotrope.
Les grands organes de presse québécois investissent-ils trop d’argent et de temps dans la couverture de la campagne électorale aux États-Unis?
Le Canada souhaite subventionner le captage et le stockage du CO2 à coups de crédits d’impôt de plusieurs milliards de dollars. Ces technologies polarisent, tantôt considérées comme des outils essentiels à l’atteinte de la carboneutralité, tantôt comme une distraction permettant aux industries les plus polluantes de maintenir leurs activités. Nos fonds publics sont-ils ici bien investis?