L’utopie réelle de la postcroissance
L’économiste français expose sa conception de l’écologie politique et montre l’urgence de renverser le monde afin de le rendre habitable à nouveau.

La liste des défis auxquels font face les élu·e·s municipaux·ales ne cesse de s’allonger, des commentaires haineux sur les réseaux sociaux aux changements climatiques. Pourtant, des candidat·e·s continuent de se présenter—et de se représenter. Nouveau Projet est allé à leur rencontre pour les questionner sur les raisons de leur engagement.
Conseillère municipale dans l’arrondissement de Ville-Marie de 2017 à 2021 et ancienne présidente du conseil municipal de Montréal, Cathy Wong effectue cette année un retour en politique. Elle est candidate à la mairie d’arrondissement du Plateau-Mont-Royal pour Projet Montréal.
Pourquoi avez-vous décidé de vous présenter au municipal?
Au mois de novembre 2024, avec le retour au pouvoir de Donald Trump, j’ai vécu un moment de déprime politique. Je me suis dit que je ne pouvais pas élever mes enfants sans faire le maximum pour bâtir une société plus égalitaire, plus féministe, plus écologiste et plus démocratique.
Le municipal a toujours été mon unique choix, parce que c’est le gouvernement à échelle humaine. Rencontrer les gens qui habitent dans mon quartier, les rassembler, puis bâtir avec eux des projets collectifs, c’est ce qui me motive. La politique municipale, c’est l’oxygène du collectif.
Selon vous, quelles sont les conséquences d’être élue?
D’abord, partout où tu vas dans la rue, les gens vont s’approcher de toi parce qu’ils ont des plaintes. La politique municipale vient avec le fait que les élus habitent leur quartier. Ensuite, il faut concilier être parent et être élu—on a longtemps vu des politiciens négliger leur vie familiale.
Les élus qui ont démissionné à cause de critiques haineuses, c’est inquiétant. Il y a un climat qu’il faut dénoncer. Quand je menais le dossier de la lutte au racisme, ça a été très difficile parce que je recevais énormément de haine en ligne. J’en veux, de la critique, parce que je veux comprendre et m’améliorer, mais dès qu’on me dénigre, ma tolérance est vraiment moindre.
Est-ce que vous percevez le rôle d’élue municipale comme un métier ou une vocation?
Être élue, c’est avant tout un service qu’on rend; ça ne devrait jamais devenir une carrière. Je crois foncièrement en cette idée d’une saine démocratie où il y a une diversité de candidats, une diversité d’idées et une diversité d’expériences.
Élisa Marchildon est étudiante au baccalauréat en journalisme à l’UQAM et stagiaire à Nouveau Projet. Elle s’intéresse aux enjeux sociaux et culturels dans une optique de journalisme de proximité.

L’économiste français expose sa conception de l’écologie politique et montre l’urgence de renverser le monde afin de le rendre habitable à nouveau.

Ici comme ailleurs, la question de l’identité de genre est devenue le point focal de débats publics enflammés. L’un·e des penseur·euse·s les plus influent·e·s dans ce domaine analyse ce phénomène.

La liste des défis auxquels font face les élu·e·s municipaux·ales ne cesse de s’allonger, des commentaires haineux sur les réseaux sociaux aux changements climatiques. Pourtant, des candidat·e·s continuent de se présenter—et de se représenter. «Nouveau Projet» est allé à leur rencontre pour les questionner sur les raisons de leur engagement.

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