Solidarité organique: j’ai donné mon rein à un·e inconnu·e
Le récit d’une collaboratrice qui a entrepris de faire un don d’organe non dirigé de son vivant. Un acte de bienveillance presque radical.
Le récit d’une collaboratrice qui a entrepris de faire un don d’organe non dirigé de son vivant. Un acte de bienveillance presque radical.
Le Nouveau Projet officiel, on le retrouve dans ses 21 numéros publiés jusqu’à maintenant, encre sur papier, figés à jamais. Mais pour l’histoire en coulisses, il a fallu fouiller dans les mémoires et les archives de ses artisan·e·s.
Devenir humoriste professionnel le temps d’une soirée: voilà le pari qu’a pris notre collaborateur, qui relate ici son expérience et les découvertes qu’il a faites en préparant son tout premier numéro.
Dans le style associatif et empreint de bonté qui a fait sa marque depuis la parution de son premier recueil, en 2017, l’auteure trace un portrait fragmenté de l’expérience d’habiter seule.
PÉROU – En langue quéchua, ayahuasca signifie liane des esprits. Cette puissante drogue hallucinogène, qui séduit de plus en plus d’Occidentaux en quête d’expériences psychédéliques, est un remède ancestral au cœur des pratiques médicinales et religieuses des peuples amazoniens. Pour tenter de saisir sa véritable portée mystique et curative, Lucile s’est aventurée au plus profond de la forêt péruvienne, à l’endroit même où la plante magique a plongé ses racines.
INDE – Au cœur des montagnes himalayennes, une histoire d’amour prend fin.
HONGRIE – La république dirigée par Viktor Orbán, surtout connue pour son refus de l’immigration, est secouée par une vague de manifestations unissant étudiants et ouvriers. De l’intérieur de ce mouvement, un Québécois raconte ce qui l’a mené de la salle de classe à la prison.
Catherine Martin, enseignante au primaire, revient sur le combat qu'elle a mené contre son cancer dans ce texte empreint de vulnérabilité.
Cinq auteurs et photographes décrivent un détail qui cristallise leur relation à Montréal.
Ils s’appellent Nadia, Jorge, Wendy. Ils ont fui les violences de leur pays d’origine à la poursuite d’un rêve : offrir à leurs enfants un meilleur avenir. À Montréal, où ils vivent cachés dans la peur constante d’être déportés, ils sont désormais des clandestins, des sans-papiers.