Les cégeps, créés en 1967, ont été des vecteurs importants de mobilité sociale pour plusieurs générations de Québécois·es. Presque 60 ans plus tard, il faut nous demander ce que nous sommes prêt·e·s à faire pour qu’ils le demeurent.
Au Québec, les services de garde en milieu scolaire célèbreront leurs 40 ans en 2025. Celles (ce sont en très grande majorité des femmes) qui les portent à bout de bras se sont levées pour obtenir de meilleures conditions de travail lors du plus récent Front commun, mais on entend encore trop peu parler de leur réalité.
Originaires des quatre coins du monde, des jeunes de Montréal-Nord tentent de décrocher le Graal: un diplôme d’études secondaires. Pas facile quand l’école «régulière» vous a mis à la porte… Pendant toute la session d’automne 2023, Michel Arseneault a suivi Linadora, Léonard, Jemmyson et les autres élèves de l’école Amos.
Julien Lefort-Favreau mesure les conséquences du désinvestissement du gouvernement provincial sur le secteur de l’éducation supérieure.
Elle est l’une des figures phares de la forme physique à Sorel-Tracy. Du moins, pour ceux et celles qui y ont fait leurs études primaires dans les années 1990.
Les parents auraient, selon l’autrice de notre «Document 26», tout avantage à s’inspirer de la permaculture pour élever leurs enfants. Une métaphore féconde, portée par une pédopsychiatre inquiète. Dans cet extrait de l’essai «Le drame des enfants parfaits», elle explique ce qui l’a poussée à prendre la plume.
À l’école on apprend à lire, à écrire, à compter, mais aussi à vivre en société. Mais les parents d’élèves ont aussi leur bout de chemin à faire, notamment en choisissant l’établissement scolaire de leur progéniture. Voici un extrait de «Nos enfants auront le dernier mot», le premier titre de notre collection «Le temps debout».
Votre sélection hebdomadaire des textes et des productions audiovisuelles qui ont attiré l’attention de l’équipe de Nouveau Projet.
Votre sélection hebdomadaire des textes qui ont attiré l’attention de l’équipe de Nouveau Projet.
Couper les enfants des discussions graves ou sérieuses, c’est une forme d’adultisme. Un concept encore méconnu que Sarah Poulin-Chartrand aborde, parmi une quarantaine d’autres, dans Nos enfants auront le dernier mot, premier titre de notre nouvelle collection Le temps debout. En voici un extrait.
Quelle place fait-on à l’éthique de la bienveillance dans nos institutions d’enseignement?
