D’accord avec Virginia Woolf qui vantait les bienfaits d’une chambre à soi, Dominique Fortier écrit depuis son lumineux repaire d’Outremont, une pièce ceinte de bibliothèques aussi hautes que le plafond.
Propos recueillis par Catherine Genest.
Le pupitre
C’est l’une des premières choses que j’ai achetées avec mes sous quand j’étais étudiante. Je vivais encore à Québec, chez mes parents. C’est un vieux bureau de maitresse d’école en chêne. Il est un peu croche, le bois est doux et patiné, plein de taches d’encre, il a vécu longtemps. Je le trouve rassurant. Le grain de ce bureau me fait penser au bois d’un navire.
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C’est entre ces quatre murs que l’autrice et réalisatrice tisse ses histoires, les chapitres de ses romans comme les scénarios de ses films. Visite d’un véritable petit musée où elle a tout le loisir de poser ses yeux entre deux élans d’inspiration.
Propos recueillis par Catherine Genest
Quel espace donne lieu à la création des compositions oniriques de Klô Pelgag? Périple dans son studio maison, un sous-sol des années 1970 autrefois sujet aux infiltrations d’eau, qu’elle a complètement rénové pour en faire son terrain de jeu musical.
En occupant la maison où Jean Paul Riopelle a créé L’hommage à Rosa Luxemburg, Marc Séguin s’offre un lieu où peindre et écrire à l’écart du monde.