Anaïs Barbeau-Lavalette à Montréal

Illustration: Marie-Hélène St-Michel
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Anaïs Barbeau-Lavalette à Montréal

C’est entre ces quatre murs que l’autrice et réalisatrice tisse ses histoires, les chapitres de ses romans comme les scénarios de ses films. Visite d’un véritable petit musée où elle a tout le loisir de poser ses yeux entre deux élans d’inspiration.

Propos recueillis par Catherine Genest

  • Illustration: Marie-Hélène St-Michel

L’œuvre encadrée de Marcel Barbeau

Elle est très précieuse pour moi. Son histoire est belle et j’en parle dans Femme fleuve. Dans un salon du livre, une femme est venue me rencontrer et elle m’a montré une photo en me disant: «J’ai une toile de votre grand-père chez moi et le titre derrière, c’est Petite Anaïs chérie.» Elle date de 1982, donc je n’avais que trois ans quand il l’a peinte. Après, j’ai revu cette femme-là et elle m’a offert l’œuvre. C’était comme une déclaration d’amour de mon grand-père, mais sur le tard. Il n’était pas très expressif.


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