Apiculture de loisir: la fausse bonne idée?
Désirant venir au secours des abeilles, un nombre grandissant de citoyen·ne·s se lancent dans l’apiculture urbaine. Et si cet engouement provoquait plus de problèmes qu’il n’en réglait?
Le mouvement coopératif est inscrit dans l’ADN québécois: près de 600 00 personnes font chaque année le choix de l’habitat communautaire. Mais la vie en collectivité ne convient pas à tout le monde, entre le processus de candidature et de sélection, l’engagement quotidien et la cohabitation de réalités et d’idéaux très divers. Récit personnel d’une expérience d’un an dans une coop de Limoilou.
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Voir les forfaitsDéjà membre? Ouvrir une session.Désirant venir au secours des abeilles, un nombre grandissant de citoyen·ne·s se lancent dans l’apiculture urbaine. Et si cet engouement provoquait plus de problèmes qu’il n’en réglait?
La politique municipale est supposément la plus accessible aux citoyen·ne·s. les faits, une fois nos représentant·e·s démocratiquement choisi·e·s, nous n’avons à peu près plus accès aux processus décisionnels.
L’Est de Montréal tente de changer de visage en misant sur les technologies vertes. Mais pour concrétiser ses rêves d’avenir, il doit d’abord se débarrasser des cicatrices du passé.
Animal qui symbolise plus que tout autre les grands espaces du Nord, le caribou migrateur agonise. Son déclin fragilise les communautés vivant dans la forêt boréale et la toundra, où la chasse au caribou est au cœur de l’équilibre alimentaire, communautaire et culturel.