Pourquoi n’a-t-on jamais domestiqué les écureuils?
Comme bien des membres de la diaspora française qui ont fait leur nid sur le Plateau-Mont-Royal, notre collègue natif de Marseille voue une tendresse particulière aux écureuils.
Cher Cirque,
Pendant longtemps, tu as été notre fierté, un fleuron de notre culture. Tu as allumé les néons de Las Vegas, et même les Simpson ont parlé de toi. Ça fait tellement longtemps que tu as dépassé nos frontières que nous avons fini par accepter que certains t’appellent «Ceurk de Soleil»—pour autant qu’ils savent que tu n’es pas français, mais bien de chez nous.
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Ou la revanche d’une petite fille sur le directeur de son école primaire.
Cher Pico, tu ne te souviens probablement pas de moi. Une autre fête d’enfants dans une mer de chapeaux pointus, de gâteaux trop sucrés et d’assiettes en carton. C’était mon anniversaire de quatre ans.
Chère science, tu me pardonneras l’usage du singulier, c’est sans contredit plus insolent encore que de te tutoyer—même les sciences humaines pas de maths que j’ai faites au cégep se méritent le pluriel.