Dans l’asile de nuit

Rosa Luxemburg
Des ouvriers attendent d’être embauchés près du port de Hambourg, en 1899 (Johann Hamann).
Des ouvriers attendent d’être embauchés près du port de Hambourg, en 1899 (Johann Hamann).
Publié le :
Grands essais

Dans l’asile de nuit

La révolutionnaire marxiste dénonce l’hypocrisie de la bourgeoisie devant la misère qui guette la classe ouvrière.

Avec une introduction de Diane Lamoureux

Considéré dans ce texte

Les morts de Joseph Geihe, Karl Melchior et Lucian Szczyptierowski, par intoxication. Le prolétariat et le capital. L’inégalité des classes. Les vaines condoléances de Sa Majesté l’Impératrice d’Allemagne.

À propos de ce texte

Rien ne prédestinait Rosa Luxemburg, fille cadette d’une famille aisée de la partie russe de la Pologne, à devenir la seule femme à figurer—parfois—au panthéon des théoriciens marxistes. D’origine juive, elle grandit dans un milieu cosmopolite. Elle commence ses études au lycée russe pour jeunes filles de Varsovie et les termine à Zurich, la Suisse étant alors un des rares pays à admettre les femmes à l’université. La ville est aussi un lieu privilégié par l’émigration politique russe et polonaise, ce qui permettra à Rosa Luxemburg d’y poursuivre son combat pour le socialisme.

Abonnez-vous!

Activez dès maintenant votre abonnement à Nouveau Projet pour lire le reste de ce texte. Du contenu original et de grande qualité, des privilèges exclusifs, et bien plus encore.

Voir les forfaits

Continuez sur ce sujet

Atelier 10 dans votre boite courriel
S'abonner à nos infolettres