Ma vie en couleur
Dans cette première traduction en français de son célèbre essai «How It Feels To Be Colored Me», l’écrivaine africaine-américaine évoque avec panache le moment décisif où elle est devenue une femme de couleur.
La révolutionnaire marxiste dénonce l’hypocrisie de la bourgeoisie devant la misère qui guette la classe ouvrière.
Avec une introduction de Diane Lamoureux
Les morts de Joseph Geihe, Karl Melchior et Lucian Szczyptierowski, par intoxication. Le prolétariat et le capital. L’inégalité des classes. Les vaines condoléances de Sa Majesté l’Impératrice d’Allemagne.
À propos de ce texte
Rien ne prédestinait Rosa Luxemburg, fille cadette d’une famille aisée de la partie russe de la Pologne, à devenir la seule femme à figurer—parfois—au panthéon des théoriciens marxistes. D’origine juive, elle grandit dans un milieu cosmopolite. Elle commence ses études au lycée russe pour jeunes filles de Varsovie et les termine à Zurich, la Suisse étant alors un des rares pays à admettre les femmes à l’université. La ville est aussi un lieu privilégié par l’émigration politique russe et polonaise, ce qui permettra à Rosa Luxemburg d’y poursuivre son combat pour le socialisme.
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Voir les forfaitsDéjà membre? Ouvrir une session.Dans cette première traduction en français de son célèbre essai «How It Feels To Be Colored Me», l’écrivaine africaine-américaine évoque avec panache le moment décisif où elle est devenue une femme de couleur.
C’est à une coupure profonde avec le modèle industriel et productiviste que nous convie le grand militant dans ce chapitre tiré du «Défi écologiste»
L’auteur de la Flore laurentienne invite ses compatriotes à se pourvoir d’une culture scientifique forte, indispensable à la construction de la nation.
En remettant en question les inconscients de la culture patriarcale, l’auteure exhortait les femmes à s’émanciper de la «langue de l’occupant».