L’étude des sciences naturelles : son développement chez les Canadiens français

Frère Marie-Victorin
Marie-Victorin, en Minganie, probablement vers 1925 (Archives UdM, E0118 / 1fp,09831).
Marie-Victorin, en Minganie, probablement vers 1925 (Archives UdM, E0118 / 1fp,09831).
Publié le :
Grands essais

L’étude des sciences naturelles : son développement chez les Canadiens français

L’auteur de la Flore laurentienne invite ses compatriotes à se pourvoir d’une culture scientifique forte, indispensable à la construction de la nation.

Considéré dans ce texte

L’absence de culture scientifique chez les Canadiens français. La question nationale. L’éducation et la poursuite de la vérité. Les joncs et les ajoncs, ou l’ignorance des poètes.

Avec une introduction de Yves Gingras

À propos de ce texte

En 1938, le journaliste et auteur des Demi-civilisés, Jean-Charles Harvey, écrit dans Le Jour qu’une «demi-douzaine de Marie-Victorin transformeraient le Québec en moins de 20 ans». Né Conrad Kirouac en 1885 et décédé prématurément dans un accident d’auto en 1944, le frère Marie-Victorin est probablement l’intellectuel le plus présent, voire le plus virulent sur la petite scène intellectuelle québécoise de l’entre-deux-guerres. Entre 1917 et le moment de son décès, il publie dans Le Devoir une quinzaine d’articles consacrés au développement scientifique et universitaire du Canada français ainsi qu’aux implications nationales qui en découlent. Ses nombreuses interventions ne passent pas inaperçues.

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