Huit films à voir cet automne qui pourraient être en lice aux Oscars
Quelques bons plans alors que s’entame la saison de cinéma la plus intéressante de l’année.
Le cinéma de Denis Côté a-t-il abandonné la marginalité de ses débuts?
Répertoire des villes disparues. La transmission et l’oubli. Nouvelle-France. L’audace critique. Le désir de créer coute que coute. Tourgueniev et le nihilisme. Le choix de la communauté.
En 2004, Nouvelle-France, grosse coproduction de 30 millions de dollars réalisée par Jean Beaudin, s’apprête à prendre l’affiche. Dans une distribution réunissant le Québec, la France et -l’Angleterre, les vedettes Gérard Depardieu, Irène Jacob et Tim Roth donnent la réplique à David La Haye et Noémie Godin-Vigneau. On s’attend à ce que le film soit un succès au boxoffice.
Denis Côté, alors critique et chef de pupitre de la section cinéma pour le défunt hebdomadaire culturel Ici, voit pourtant venir le bide. Plutôt que de jouer le jeu de la promotion du film en publiant un prépapier vendeur, il décide de briser l’embargo et de critiquer tant le film que son producteur. Judicieusement titré «Ciné-désastre», son texte parle d’«un cinéma de producteurs et de distributeurs paresseux, dépensier, ultrasyndiqué».
Nouveau Projet, c'est du contenu original et de grande qualité, des privilèges exclusifs, et bien plus encore.
Achetez un accès à cet article ou activez dès maintenant votre abonnement à Nouveau Projet pour lire le reste de ce texte.
Déjà membre? Ouvrir une session.Quelques bons plans alors que s’entame la saison de cinéma la plus intéressante de l’année.
De retour de son périple au Royaume, Catherine Genest nous entretient du potentiel érotique des étoiles de mer.
C’est entre ces quatre murs que l’autrice et réalisatrice tisse ses histoires, les chapitres de ses romans comme les scénarios de ses films. Visite d’un véritable petit musée où elle a tout le loisir de poser ses yeux entre deux élans d’inspiration.
Propos recueillis par Catherine Genest
Les péplums hollywoodiens font courir les foules au Québec depuis toujours, mais un homme de cinéma, Hugo Latulippe en l'occurrence, appelle à la résistance culturelle. Voici un extrait de «Pour nous libérer les rivières», son essai paru chez Atelier 10.