Ce qu’«Occupation double» dit sur notre rapport à la langue
Et si les débats sur la langue ne se jouaient pas uniquement dans les institutions, mais aussi dans les émissions de téléréalité?
Dans l’histoire de l’art, à travers le male gaze des peintres et sculpteurs, les représentations de femmes alitées et sublimées par la douleur abondent. Avec ce nouvel ouvrage paru chez Héliotrope, les autrices se réapproprient leur souffrance et celle de leurs sœurs, dans tout ce que ça implique de laideur, de réalisme et de résilience. Un document assemblé comme un collage d’idées et dont voici un extrait.
Jennifer Bélanger est autrice et doctorante en études littéraires. Elle a été finaliste aux Prix littéraires du Gouverneur général pour son roman Menthol (Héliotrope) paru en 2020.
Martine Delvaux est une essayiste, romancière et traductrice reconnue pour ses prises de position féministes. On lui doit une dizaine d’ouvrages dont Le Boys Club (Éditions du remue-ménage), qui lui a valu le Grand Prix du livre de Montréal en 2020.
Pour aller plus loin
Les allongées, un livre de Jennifer Bélanger et Martine Delvaux paru chez Héliotrope
Et si les débats sur la langue ne se jouaient pas uniquement dans les institutions, mais aussi dans les émissions de téléréalité?
De part et d’autre de la crise du logement, deux classes se dessinent: celle qui exploite (les propriétaires) et celle qui est exploitée (les locataires). Telle est la prémisse de «La classe locataire», un essai qui sort ces jours-ci chez Québec Amérique. En voici un extrait.
Qui peut vraiment mettre sa face sur un poteau en 2025?
À l’heure où l’urgence climatique redéfinit nos habitudes de consommation, le lin s’impose comme l’un des textiles du futur. S’habiller de lin, c’est faire bien plus qu’un choix vestimentaire: c’est, selon notre collaboratrice, un acte de conscience.