Biorégion ou barbarie
Et si le projet biorégional pouvait nous aider à traverser l’effondrement? Dans cet extrait de l’essai «Faire que!», récemment paru chez Lux Éditeur, l’auteur et philosophe Alain Deneault appelle à un certain retour à la terre.
Près de sept décennies après l’inauguration des centrales Bersimis-1 et Bersimis-2, Hydro-Québec a signé une «entente historique» avec la cheffe de Pessamit, Marielle Vachon. En échange de 45 millions de dollars, la politicienne autochtone consent ainsi à ce que la société d’État développe de nouvelles infrastructures sur son territoire. Un exemple concret de réconciliation?
Hydro-Québec occupe le Nitassinan1Ce qui signifie «notre terre» en innu-aimun des Innu depuis plusieurs décennies. C’est un cas concret de colonialisme (parmi tant d’autres au Canada) qui a pour effet de placer les Autochtones de Pessamit dans une position inconfortable et dilemmatique. À l’heure actuelle, le contrat signé avec Hydro-Québec ne fait aucunement l’unanimité au sein des Pessamiulnuat, et avec raison.
Activez dès maintenant votre abonnement à Nouveau Projet pour lire le reste de ce texte. Du contenu original et de grande qualité, des privilèges exclusifs, et bien plus encore.
Voir les forfaitsDéjà membre? Ouvrir une session.Et si le projet biorégional pouvait nous aider à traverser l’effondrement? Dans cet extrait de l’essai «Faire que!», récemment paru chez Lux Éditeur, l’auteur et philosophe Alain Deneault appelle à un certain retour à la terre.
Pennsylvanie, 13 juillet 2024. Donald Trump, le poing levé et l’oreille en sang, se relève d’un bond après avoir échappé à une tentative d’assassinat. Accompagné de photos de presse archi marquantes, cet évènement a bouleversé les esprits et la campagne du moins momentanément, ainsi que le raconte Catherine Mavrikakis, dans cet extrait de «Sur les routes», paru aux éditions Héliotrope.
Les grands organes de presse québécois investissent-ils trop d’argent et de temps dans la couverture de la campagne électorale aux États-Unis?
Lors des Jeux olympiques de Paris, des athlètes ont révélé alimenter un compte OnlyFans à coups de photos explicites. Que penser de ce mode de financement pour le sport amateur de (très) haut niveau?