Dix chefs-d’œuvre obscurs du cinéma québécois

Jason Béliveau
 credit: Photo: Amanita Pestilens
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Dix chefs-d’œuvre obscurs du cinéma québécois

De Rodrigue Jean à Michèle Cournoyer en passant par Mireille Dansereau, voici une sélection de dix grands films qui n’ont pas (encore) reçu la notoriété qu’ils méritent. Un palmarès qui remet en lumière quelques pionnières un peu oubliées de notre industrie cinématographique.

Amanita Pestilens (1963)

René Bonnière


Regard joyeusement cynique sur la banlieue, sélectionné à la Berlinale en 1965, Amanita Pestilens n’a presque jamais été projeté au Québec en bientôt 60 ans. En plus d’être le premier long métrage d’ici tourné simultanément en français et en anglais, il met en vedette une jeune Geneviève Bujold, un an avant qu’elle soit remarquée dans Geneviève de Michel Brault.


21-87 (1964)

Arthur Lipsett


Arthur Lipsett n’est pas un pur inconnu. Mais ses courts métrages ont surtout eu une influence à l’étranger, sur des cinéastes comme Stanley Kubrick, qui lui a demandé de réaliser la bande-annonce de son Dr. Strangelove (il a refusé), et George Lucas, qui lui a rendu hommage dans A New Hope (2187 est le numéro de la cellule de princesse Leia). Ses collages uniques, d’un humour noir à glacer le sang, sont aujourd’hui disponibles sur le site web de l’Office national du film du Canada (ONF).

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