Huit films à voir cet automne qui pourraient être en lice aux Oscars
Quelques bons plans alors que s’entame la saison de cinéma la plus intéressante de l’année.
Pour la création du spectacle Monstres, deux femmes de théâtre ont rencontré neuf ancien·ne·s placé·e·s afin de mieux comprendre les traces qu’un parcours infléchi par la direction de la protection de la jeunesse laisse chez ceux et celles qui le traversent. Voici quelques-unes de leurs observations.
C’est avec beaucoup de naïveté que nous avons commencé la recherche qui a mené au spectacle de théâtre Monstres. À l’époque, nous ne connaissions pratiquement rien à propos de la DPJ. Puis, nous avons rencontré un groupe d’ancien·ne·s placé·e·s pour leur faire part de nos idées. Nous étions loin de savoir à quel point nous allions vivre un tel coup de foudre avec ces êtres humains nuancés, éloquents et extrêmement lucides. Ils ont été notre phare et notre inspiration tout au long de la création.
Ce qui nous fascine particulièrement, c’est de voir à quel point leurs opinions sur le système divergent. Certain·e·s ancien·ne·s placé·e·s disent avoir été sauvé·e·s par la DPJ. Pour d’autres, son arrivée dans leur vie a représenté le début d’une longue bataille. En effet, même si plusieurs choses les unissent, leurs points de vue sur notre société et leur façon d’apprendre à vivre avec les traumatismes sont bien personnels. Un parcours en DPJ, ça laisse des traces.
Nouveau Projet, c'est du contenu original et de grande qualité, des privilèges exclusifs, et bien plus encore.
Achetez un accès à cet article ou activez dès maintenant votre abonnement à Nouveau Projet pour lire le reste de ce texte.
Déjà membre? Ouvrir une session.Quelques bons plans alors que s’entame la saison de cinéma la plus intéressante de l’année.
Récits fragmentés, formes hybrides, voix fortes: la littérature d’ici dans tout ce qu’elle a de singulier.
Et si la solution à la crise du logement passait par la reconversion d’immeubles vacants?
Les tiktokeur·euse·s qui visitent des endroits abandonnés ont pour coutume de taire les adresses, mais voici quatre lieux de culte montréalais que nous croyons avoir été capables d’identifier.