De l’obligation d’être sexy
Lors des Jeux olympiques de Paris, des athlètes ont révélé alimenter un compte OnlyFans à coups de photos explicites. Que penser de ce mode de financement pour le sport amateur de (très) haut niveau?
Son essai sur la grossophobie internalisée lui a attiré les foudres de certaines de ses consœurs féministes. Mais même si l’autrice de Cet exécrable corps a le sentiment d’avoir gouté à une forme de trahison dans son milieu militant, elle refuse de s’opposer à la cancel culture.
Ça m’obsède de constater à quel point nous, les féministes, sommes exigeantes les unes envers les autres. Je ne suis pas la première à le dire et je ne serai sans doute pas la dernière. Comme pour répéter les patterns que nous apprend le patriarcat, on s’impose un code strict. Et si on le respecte, si on suit toutes ses règles à la lettre, il nous donne droit à l’étiquette dorée de «la bonne féministe».
Mais est-ce que notre but, ce n’était pas justement d’être libres? De construire autre chose?
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Les trois saisons de la série contemporaine «The Bear» sont sorties entre 2022 et aujourd’hui, mais les intrigues amoureuses portées par les personnages principaux auraient très bien pu cadrer dans l’univers de «Mad Men». Les relations hétérosexuelles ont-elles seulement évolué depuis les années 1960?
Souvent, la mère et la nullipare mènent l’une contre l’autre une guerre sourde, chacune s’estimant plus heureuse, et parfois même plus brillante, que celle qui a fait le choix de vie inverse. Comment alors réconcilier ces deux solitudes?
Une interprète et chercheuse en théâtre se penche sur les bienfaits de l’hypnose, dans une démarche ancrée dans la recherche universitaire et résolument bien loin de celle d’un certain Messmer.