Biorégion ou barbarie
Et si le projet biorégional pouvait nous aider à traverser l’effondrement? Dans cet extrait de l’essai «Faire que!», récemment paru chez Lux Éditeur, l’auteur et philosophe Alain Deneault appelle à un certain retour à la terre.
Son essai sur la grossophobie internalisée lui a attiré les foudres de certaines de ses consœurs féministes. Mais même si l’autrice de Cet exécrable corps a le sentiment d’avoir gouté à une forme de trahison dans son milieu militant, elle refuse de s’opposer à la cancel culture.
Ça m’obsède de constater à quel point nous, les féministes, sommes exigeantes les unes envers les autres. Je ne suis pas la première à le dire et je ne serai sans doute pas la dernière. Comme pour répéter les patterns que nous apprend le patriarcat, on s’impose un code strict. Et si on le respecte, si on suit toutes ses règles à la lettre, il nous donne droit à l’étiquette dorée de «la bonne féministe».
Mais est-ce que notre but, ce n’était pas justement d’être libres? De construire autre chose?
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Pennsylvanie, 13 juillet 2024. Donald Trump, le poing levé et l’oreille en sang, se relève d’un bond après avoir échappé à une tentative d’assassinat. Accompagné de photos de presse archi marquantes, cet évènement a bouleversé les esprits et la campagne du moins momentanément, ainsi que le raconte Catherine Mavrikakis, dans cet extrait de «Sur les routes», paru aux éditions Héliotrope.
Les grands organes de presse québécois investissent-ils trop d’argent et de temps dans la couverture de la campagne électorale aux États-Unis?
Lors des Jeux olympiques de Paris, des athlètes ont révélé alimenter un compte OnlyFans à coups de photos explicites. Que penser de ce mode de financement pour le sport amateur de (très) haut niveau?