Lettre ouverte aux gamers
Et si les gangs d’ami·e·s sur Discord et sur Twitch se donnaient rendez-vous dans la rue?
Ou la revanche d’une petite fille sur le directeur de son école primaire.
Bon alors. Vous ne vous appelez pas vraiment M. Virelotte, mais ça, vous le savez bien. Parce que vous savez tout, vous. Mais ce que vous ignorez, M. Virelotte, c’est que vous me hantez le bulbe depuis 35 ans. Vous souvenez-vous de moi?
Bien sûr que non. J’étais cette petite Cathie parmi les centaines, les milliers de petit·e·s Cathie, Alexandre, Stéphanie et Marc-André en culottes courtes de votre école primaire. Ce prestigieux collège où n’affleurait que le velours de la clientèle scolaire pourvue de gencives saines et de faciès inspirant la douance, où le succès était prince et la discipline, vieille reine en robe vert lime assortie d’un bibi de la même couleur. Et vous, M. Virelotte, grand directeur en complet trois-pièces marine et à la monture rouge, étiez à la bienveillance ce que Pennywise, le clown cabriolant, est à la berceuse «Bonne nuit» du fond de son égout de bord de trottoir.
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Les Québécois·es ont fait de sa sainteté un prétexte pour virer des brosses. À l’occasion de la Fête nationale, l’humoriste Emna Achour est à tu et à toi avec le prédicateur juif que les catholiques (et même les musulman·e·s) ont pris en affection.
Elle est l’une des figures phares de la forme physique à Sorel-Tracy. Du moins, pour ceux et celles qui y ont fait leurs études primaires dans les années 1990.
Ou la culpabilité d’un fils (de préposé aux bénéficiaires) qui paie son loyer, et beaucoup de livraisons de burgers, en écrivant des blagues.