En banlieue du monde
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AFGHANISTAN – Des années après la chute de l’extrémisme, une nouvelle génération de femmes semble prendre les devants pour renouveler un septième art sclérosé.
Une vingtaine d’années après l’arrivée des talibans, réaliser un film en Afghanistan est loin d’être chose facile. Les salles ont été fermées et les tournages interdits sous leur autorité, ce qui a eu de profonds effets sur le septième art afghan. Aujourd’hui, sur les 20 cinémas que compte Kaboul, seuls quatre sont en état de fonctionnement. Des années de guerre civile ainsi qu’un manque d’installations techniques et de ressources financières ont étouffé toute velléité artistique.
Au milieu de ce marasme, une poignée de femmes luttent devant et derrière la caméra. Elles sont le visage du renouveau cinématographique afghan. Elles s’appellent Leena Alam, Sahra Mani, Sahra Karimi et Shahrbanoo Sadat. Elles ont entre 25 et 40 ans, et nous racontent leur pays natal.
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