Pour la suite du monde
Plutôt que de se laisser submerger par la vague bleu pâle de la CAQ, l’ancienne députée solidaire s’accroche à l’espoir, à l’optimisme et aux convictions portées par la jeunesse.
Dénoncer, ou se taire ? Devant cette question, tout le monde a-t-il les mêmes choix? Pensons aux personnes subissant la dictature. Pensons aux traumatismes générationnels associés au fait de ne pas avoir dit, pas réagi, ou d’avoir trop fait confiance. Pensons au fait que, depuis la tendre enfance, certain·e·s grandissent en se sachant plus surveillé·e·s que d’autres. Pensons à leur mécanisme d’adaptation. Ce qui peut paraitre de la lâcheté pour l’un·e peut être du courage pour l’autre.
Dans une province qui est le produit d’un violent colonialisme de peuplement dont les principes logent encore dans ses systèmes d’éducation, de justice, de santé, d’immigration, toutes les postures existent, pour la personne en subissant les conséquences. Que faut-il dénoncer, quand tout est une imposture?
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Voir les forfaitsDéjà membre? Ouvrir une session.Plutôt que de se laisser submerger par la vague bleu pâle de la CAQ, l’ancienne députée solidaire s’accroche à l’espoir, à l’optimisme et aux convictions portées par la jeunesse.
Rouyn-Noranda-Témiscamingue, une circonscription jusqu’ici représentée par une députée de Québec solidaire, vient de passer aux mains de la Coalition avenir Québec. Écrit à chaud, quelques heures après le dépouillement des votes, ce texte de notre correspondant rouynorandien permet de prendre le pouls de la ville du FME, mais aussi de la très polluante fonderie Horne.
Qu’arriverait-il si nous faisions le choix individuel et collectif d’une vision plus rose de l’avenir?