Cinq livres que j’ai lus—octobre 2022
Chaque mois, notre rédacteur en chef commente certaines de ses lectures et d’autres sujets plus ou moins connexes.
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Lus le mois dernier
A World Without Email—Cal Newport (Portfolio, 2021)
Mœurs—Alain Deneault (Lux, 2022)
Joan Didion: The Last Interview and Other Conversations—Collectif (Melville House, 2022)
Femme forêt—Anaïs Barbeau-Lavalette (Marchand de feuilles, 2022)
The High Sierra: A Love Story—Kim Stanley Robinson (Little, Brown and Co., 2022)
Au début du mois dernier, je suis parti en vacances avec 167 courriels non traités toujours dans ma boite de réception—malgré plusieurs blitz de correspondance avant mon départ—et une profonde envie d’en avoir moins à gérer, à mon retour.
J’avais déjà beaucoup aimé, il y a quelques années, le Deep Work de Cal Newport, une réflexion à la fois philosophique et praticopratique sur la nécessité de se ménager des périodes de travail sans distractions, dans un monde qui ne demande justement qu’à nous déconcentrer, nous divertir, nous offrir 1001 autres choses plus tentantes que de travailler fort, sans interruption. Alors l’an dernier, quand est paru son plus récent livre, A World Without Email (sous-titre: Reimagining Work in an Age of Communication Overload), je l’ai acheté et lu tout de suite. Mais je n’avais pas tout à fait mis en application ses principales recommandations (j’étais trop occupé à répondre à des courriels).
J’ai donc profité de mes vacances pour le relire, cette fois en travaillant à un plan d’application concrète. Je vous en épargne les détails et vous invite plutôt à consulter le livre, mais le constat général à garder en tête: les courriels nous rendent moins productifs et, ultimement, malheureux. Bonne rentrée, tout le monde.
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La violence conjugale est aussi l'apanage des filles à peine sorties de l’adolescence, comme en fait foi ce brulot de l’autrice Angelina Guo, la nouvelle recrue du Quartanier, une écrivaine montréalaise qui étudie actuellement à la Sorbonne.
L’écrivain a enlevé le «in» de son prénom, bien qu’il ne l’ait jamais autant été. Populaire au possible, le lauréat du plus récent prix Médicis livre ici sa quatrième œuvre en carrière.