La floraison des miroirs
En regardant au-delà des étiquettes, et en embrassant la diversité sexuelle et de genre, peut-être pourrions-nous découvrir toute la poésie qui nous anime?
Quand le confinement allonge les heures et que la dépression nous guette, assumer de passer ses journées au lit est une posture tant de résistance que de création.
Le langage du corps et les angoisses de l’âme. L’histoire de la chaise à travers les âges. Frida Kahlo, Truman Capote, Winston Churchill et les génies allongés.
Depuis le début de la pandémie, mon corps penche. Il riposte à la courbe par l’inclinaison: à force d’osciller, sans cesse alourdi, il glisse et s’allonge au creux de la vague. Mon corps s’installe au lit pour manger. Pour travailler quelques heures facturables, pour boire un café, pour lire et pour parler, à moi-même comme aux autres.
Je reste au lit, mais je ne dors pas: je me réinvente.
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Les GIF, ces images qui se répètent ad nauseam, n’ont pas la cote auprès de la jeune génération. Soit. Quelle leçon peut-on en tirer?
La jeune femme est tiraillée entre ce que lui dicte son instinct et ce que prescrivent les normes sociales. Dans le doute, elle appréhende la vie à la façon des petites annonces.
Alors que le travail est devenu le symbole de la libération féminine, quelle possibilité existe-t-il de s’en éloigner pour se réaliser autrement?