Au nirvana des mécréant·e·s
La littérature est-elle ce lieu sécuritaire où étancher notre soif existentielle?

Vingt ans après la parution du récit qui a lancé sa carrière littéraire, Dave Eggers a-t-il remporté son combat contre l’ironie postmoderne?
A Heartbreaking Work of Staggering Genius, de Dave Eggers. Les années 1990 et l’ironie. L’influence de David Foster Wallace. La postmodernité, la néosincérité et autres mouvements littéraires plus ou moins définis.
Nouveau Projet, c'est du contenu original et de grande qualité, des privilèges exclusifs, et bien plus encore.
Achetez un accès à cet article ou activez dès maintenant votre abonnement à Nouveau Projet pour lire le reste de ce texte.
Déjà membre? Ouvrir une session.
La littérature est-elle ce lieu sécuritaire où étancher notre soif existentielle?

Que nous enseigne le roman de science-fiction le plus célèbre de tous les temps?

Un monde où les certitudes s’écroulent, mais où émerge néanmoins une certaine lumière à travers la noirceur. C’est au gré du mouvement entre la géopolitique et la généalogie que s’écrivent ces 548 pages qui aboutissent, dans les meilleurs passages, à la littérature, à ce qu’elle nous fait, à ce qu’elle occulte, à ce qu’elle révèle.

Chaque saison, Atelier 10 braque ses projecteurs sur l’un des merveilleux humains de son équipe. À l’occasion de la sortie de «Nous serons un village au coeur de la ville», nous vous présentons Marie-Michèle Robitaille, notre collaboratrice qui en a fait l’édition et qui était jusqu’à cette année secrétaire de rédaction de «Nouveau Projet».