Cinq moyens de prévenir la grossophobie au travail
Les comportements grossophobes augmentent le risque de détresse psychologique chez les gens qui les subissent. Voici comment instaurer un climat de travail sain et plus inclusif à l’égard du poids.
Un projet d’économie circulaire d’envergure aide actuellement les organisations de tout le territoire à améliorer leurs performances économique et environnementale tout en optimisant leur gestion des matières résiduelles.
Un peu partout au Québec, l’idée se répand : pour réduire notre empreinte environnementale tout en contribuant au bienêtre des individus et des collectivités, il faut réussir à créer des systèmes de production, d’échange et de consommation qui optimisent l’utilisation des ressources à toutes les étapes du cycle de vie d’un produit ou d’un service.
Pour parvenir à ce changement de paradigme sans affecter le rendement des entreprises, le projet Synergie Bas-Saint-Laurent, regroupant les MRC de Kamouraska, Témiscouata, Rivière-du-Loup, Les Basques, Rimouski-Neigette, La Mitis, La Matapédia et La Matanie, se voue entièrement à favoriser la circularité dans l’économie de la région.
Réduction, réemploi, recyclage et revalorisation
Synergie BSL accompagne les industries, les commerces et les institutions qui le souhaitent dans la mise en place de systèmes fondés sur des stratégies de réduction à la source, de réemploi, de recyclage, ou de valorisation des déchets. Le maillage entre les organisations est parfois audacieux, mais le projet est soutenu par les huit Sociétés d’aide au développement des collectivités (SADC) du Bas-Saint-Laurent, le Fonds d’appui au rayonnement des régions et le conseil régional de l’environnement local. Et il en résulte une réduction des couts et de l’empreinte environnementale qui fait toute la différence pour les entreprises.
Par exemple, en matière de recyclage, la Distillerie Mitis offre depuis peu des aromates utilisés dans la fabrication de son gin à la PME voisine, Les Jardins de Julie. Jusque-là destinée aux rebuts une fois le gin distillé, cette matière précieuse sert désormais à la conception de savons véganes exfoliants.
De la même manière, les résidus de la scierie Cèdre JD Sirois, à Mitis-sur-Mer, ont été revalorisés en paillis aux Jardins de Métis. La fibre de lin brute générée par la coopérative Innolin, à Saint-Joseph-de-Lepage, a quant à elle été transformée en maisons décoratives lors du Festival international de jardins.
Du côté de la Distillerie du St-Laurent, ce sont les boites de carton usagées qui ont trouvé un second souffle chez Rabot D. Bois, une grande boutique d’ameublement et de décoration située à Rimouski : elles permettent la création d’emballages sur mesure pour l’expédition des colis. En 2021, ce projet d’écoconception a permis de réutiliser quelque sept tonnes de matière.
Depuis près de 15 ans, plus de 1 500 interventions en développement durable ont été réalisées avec le soutien du Réseau des SADC et CAE, actif dans le développement économique régional, l’aide technique et le financement aux entreprises. •
Les SADC et CAE sont des organismes à but non lucratif qui travaillent depuis 40 ans au développement économique des régions du Québec. Le Réseau regroupe 57 SADC (Sociétés d’aide au développement des collectivités) et 10 CAE (Centres d’aide aux entreprises). Ils comptent plus de 1 000 professionnels et bénévoles qui soutiennent des projets et des entreprises innovantes pour des collectivités prospères.
Développement économique Canada pour les régions du Québec appuie financièrement les SADC et les CAE.
Ce contenu, réalisé par le Studio A10 dans le respect de ses lignes directrices, a été commandité par les SADC et CAE.
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