Énième texte pour parler des réseaux sociaux. Oui, je suis victime de mon best friend: mon téléphone. Plus que les autres? Peut-être. C’est la dernière chose que je vois en me couchant, la première en me levant. Il est toujours trop proche de moi, je voudrais m’en séparer mais, pandémie oblige, il a fondu dans ma main. Je me sens complètement seule et coupée du monde sans mon cellulaire, nous ne faisons plus qu’un. J’ai besoin de me nourrir de nouvelles, de culture populaire, de l’humour sharp de la génération Z et de chiens cutes.