Pour un survivalisme doux

Samuel Archibald
Illustration: Philippe Duguay-Blais
Illustration: Philippe Duguay-Blais
Publié le :
Société

Pour un survivalisme doux

Comment faire meilleur usage des émotions au cœur de la pulsion survivaliste?

Considéré dans ce texte

La fin du monde. Le survivalisme et le néosurvivalisme. Jusqu’au déclin, les preppers et les recettes apocalyptiques de Joe Beef. Le désir de catastrophe. La peur. La douceur. Arnold Schwarzenegger.

Une affaire que j’ai comprise, à force de mettre du monde mal à l’aise, c’est que je suis globalement plus redneck que la moyenne des ours. Surtout des ours de l’UQAM, du Mile End et du Plateau. Je sais chauffer un bateau et mélanger le gaz pour les machines. Je sais démonter, nettoyer et remonter une arme à feu. J’aime les animaux mais je sais aussi comment les tuer. Et je ne veux pas juste dire tirer dessus, mais aussi les achever au couteau s’il le faut, et les dépecer.

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