Ce qu’on a vu—mai 2025
Montréal vibre au rythme du FTA, évènement théâtral attendu de pied ferme par les membres de notre équipe. Voici les spectacles qui nous ont impressionné·e·s jusqu’à présent.
Lou-Adriane Cassidy rompt avec la banalité et consolide sa place au prochain gala d’ADISQ avec une chanson forte, «Dis-moi dis-moi dis-moi», qui laisse présager le meilleur en vue de la sortie de son troisième album studio.
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Modifier mes préférences«Dis-moi dis-moi dis-moi»
Lou-Adriane Cassidy (Bravo Musique)
Lou-Adriane Cassidy passe, à mon sens, de sympathique chanteuse de la relève à figure incontournable de la pop québécoise grâce à cet extrait de Journal d’un Loup-garou qui paraitra le 24 janvier. J’ai, en bref, des frissons à chaque fois que j’entends «Dis-moi dis-moi dis-moi», et Dieu sait que je l’écoute en boucle depuis sa sortie, captivée par ses arrangements orchestraux et sa structure progressive pleine de surprises. Écrites à quatre mains aux côtés de son amoureux Alexandre Martel (réalisateur du premier disque solo d’Hubert Lenoir, notamment), les paroles énigmatiques de cette chanson m’évoquent la sorcellerie et les mauvais coups, un univers que n’aurait pas répudié Kate Bush dans sa vingtaine.
— Catherine Genest, cheffe de pupitre numérique, Nouveau Projet
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On fait le plein de chansons en letton, en albanais et en allemand au lendemain de l’Eurovision. Pleins feux sur les artistes les plus avant-gardistes et musicalement intéressants du concours (parce que oui, il y en a).
Dans «Hewa Rwanda», le dramaturge et acteur kigalien Dorcy Rugamba jette un éclairage nouveau sur le génocide auquel il a échappé. D’ailleurs, le continent africain est très bien représenté à la 19e édition du FTA.
La primoromancière Myriam de Gaspé impressionne avec «L’embouchure», un livre traversé par le fleuve Saint-Laurent qui parait ces jours-ci aux éditions Les Herbes rouges.