Ce qu’on a vu—octobre 2025
Théâtre, danse, cinéma... Voici les recommandations de l'équipe de «Nouveau Projet» ce mois-ci.

Lou-Adriane Cassidy rompt avec la banalité et consolide sa place au prochain gala d’ADISQ avec une chanson forte, «Dis-moi dis-moi dis-moi», qui laisse présager le meilleur en vue de la sortie de son troisième album studio.
Ce contenu a été bloqué puisqu'il provient d'un service externe qui pourrait nécessiter des témoins qui contreviennent à vos préférences.
Modifier mes préférences«Dis-moi dis-moi dis-moi»
Lou-Adriane Cassidy (Bravo Musique)
Lou-Adriane Cassidy passe, à mon sens, de sympathique chanteuse de la relève à figure incontournable de la pop québécoise grâce à cet extrait de Journal d’un Loup-garou qui paraitra le 24 janvier. J’ai, en bref, des frissons à chaque fois que j’entends «Dis-moi dis-moi dis-moi», et Dieu sait que je l’écoute en boucle depuis sa sortie, captivée par ses arrangements orchestraux et sa structure progressive pleine de surprises. Écrites à quatre mains aux côtés de son amoureux Alexandre Martel (réalisateur du premier disque solo d’Hubert Lenoir, notamment), les paroles énigmatiques de cette chanson m’évoquent la sorcellerie et les mauvais coups, un univers que n’aurait pas répudié Kate Bush dans sa vingtaine.
— Catherine Genest, cheffe de pupitre numérique, Nouveau Projet
Nouveau Projet, c'est du contenu original et de grande qualité, des privilèges exclusifs, et bien plus encore.
Achetez un accès à cet article ou activez dès maintenant votre abonnement à Nouveau Projet pour lire le reste de ce texte.
Déjà membre? Ouvrir une session.
Théâtre, danse, cinéma... Voici les recommandations de l'équipe de «Nouveau Projet» ce mois-ci.

Paru en 1985 mais revu cette année aux Éditions de Minuit à partir des tapuscrits originaux et d’un texte resté inédit, «La mémoire et les jours» de Charlotte Delbo ressurgit comme une œuvre brulante d’actualité, entre mémoire des camps et solidarité face aux violences qui se répètent aujourd’hui encore.

Avec ses compositions élégantes et sans artifice, la jeune Canadienne Noeline Hofmann insuffle au country traditionnel toute la force brute et la poésie des plaines de l’Ouest.

Si vous êtes à la recherche d’un bon plan cinéma-maison, vous l’avez trouvé: «Sorry, Baby», premier long-métrage de l’audacieux·se Eva Victor, qui dresse avec délicatesse et une pointe d’humour le portrait d’une jeune femme qui tente de reprendre pied après un traumatisme.