Pour la suite du monde
Plutôt que de se laisser submerger par la vague bleu pâle de la CAQ, l’ancienne députée solidaire s’accroche à l’espoir, à l’optimisme et aux convictions portées par la jeunesse.
Notre incapacité à penser le suicide comme une décision lucide nous empêche-t-elle de nous engager plus profondément dans nos vies?
NDLR: Ce texte aborde la question délicate et importante du suicide. Si vous sentez que vous avez besoin d’aide, contactez le 1 866 APPELLE (1 866 277-3553), en tout temps, et partout au Québec.
Le suicide, dans notre société, est vu comme une épidémie. Il suffirait d’en parler pour le susciter, voire le promouvoir. C’est du moins ce que suggèrent les associations de psychiatres qui demandent aux médias de prendre des précautions lorsqu’ils en parlent. Nous avons donc pris l’habitude un peu ridicule de joindre à sa mention furtive les numéros de téléphone des centres d’aide, sur un ton à la fois doucereux et grave qui montrerait un souci, une sollicitude maternelle envers les plus malheureux·euses dont on se moque, par ailleurs, quand ils et elles ont envie de vivre mieux.
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Voir les forfaitsDéjà membre? Ouvrir une session.Plutôt que de se laisser submerger par la vague bleu pâle de la CAQ, l’ancienne députée solidaire s’accroche à l’espoir, à l’optimisme et aux convictions portées par la jeunesse.
Rouyn-Noranda-Témiscamingue, une circonscription jusqu’ici représentée par une députée de Québec solidaire, vient de passer aux mains de la Coalition avenir Québec. Écrit à chaud, quelques heures après le dépouillement des votes, ce texte de notre correspondant rouynorandien permet de prendre le pouls de la ville du FME, mais aussi de la très polluante fonderie Horne.
Qu’arriverait-il si nous faisions le choix individuel et collectif d’une vision plus rose de l’avenir?