Expression brute d’opinions, humour hostile, absence d’autocensure sur les plateformes numériques: tant de signes probants que nous avons urgemment besoin de réapprendre à communiquer les uns avec les autres. À l’ère du monologue tout-puissant, comment favoriser le dialogue, et vivre ensemble?
Contrairement au discours, à la déclaration ou à la chronique, qui consistent en la transmission unidirectionnelle d’informations, c’est-à-dire à envoyer son opinion dans l’univers sans risque de retour, le dialogue n’est pas un exercice aussi simple qu’on pourrait le croire. Parce qu’il implique deux interlocuteurs, chacun armé de son bagage culturel et affectif, et qu’il a lieu dans un contexte qui n’est jamais neutre, son issue est incertaine.
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Comment planifier nos vieux jours quand notre présent est pavé d’incertitudes? Déjà tributaires de la demande extérieure, les adeptes du travail autonome doivent aussi aller au-devant des choses en matière d’épargne. Cinq d’entre eux et elles partagent leurs trucs (réalistes) pour mettre de l’argent de côté, un chèque à la fois.
Ceux qui ont déjà perdu un être cher savent que la véritable empathie est rare. Notre entourage nous sert des platitudes blessantes et s’attend à ce que nous passions rapidement à autre chose. Résultat, le deuil n’a nulle part où aller et crée des ravages souterrains.
Les enfants ne jouent pas assez dehors, dit-on souvent. Inquiets, les spécialistes proposent des leviers concrets pour encourager un retour au plein air, indispensable à la santé comme au développement de l’autonomie et de la créativité des plus petits.
Comment contrecarrer les impératifs de productivité et toutes les injonctions qui accaparent notre temps, notre vie?