«Lait paternel»: avec ou sans Maybe Watson

Olivier Boisvert-Magnen
Publié le :
Critique

«Lait paternel»: avec ou sans Maybe Watson

Trois ans après le départ de Maybe Watson au cœur de la seconde vague du mouvement #MoiAussi, Alaclair Ensemble rebâtit son univers musical avec audace et originalité sur Lait paternel, laissant toutefois transparaitre une amertume qui, au fil de l’album, finit par devenir irritante.

Rien n’est clair à 100% sur le septième album d’Alaclair Ensemble. Pour la première fois depuis les débuts du groupe, il y a près de 15 ans, ce manque de précision, de concision et de sens dans les textes rend le produit final moins digeste. Les sujets abordés sont périlleux–on évoque maintes fois la culture de l’annulation et les wokes–et, même si les gars d’Alaclair Ensemble ne prennent que très rarement position dans leurs textes, on comprend (ou, plutôt, on devine) une partie de leur position générale face à toutes ces thématiques brulantes d’actualité: la société est à la dérive et le bon sens se perd.

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