«Ấm»: une romancière à l’épreuve de la scène
Il ne suffit pas toujours de surfer sur l’œuvre d’une romancière à succès pour faire du bon théâtre. C’est peut-être même parfois plus délicat.
Très attendue, l’adaptation du bestseller de Michel Jean comporte quelques accrocs. On a parfois l’impression que les acteur·trice·s ne jouent pas dans le même spectacle.
C’est grâce à la plume de Laure Morali, en collaboration avec nulle autre que l’immense Joséphine Bacon, et à la mise en scène de la talentueuse Émilie Monnet que nous pouvons ces jours-ci assister à l’adaptation théâtrale de Kukum, de l’écrivain et journaliste Michel Jean. Empreinte d’une grande sensibilité, dotée d’une scénographie originale et d’une trame vidéo excellente, la pièce souffre toutefois du jeu mal dosé de certain·e·s interprètes, ainsi que d’un rythme parfois bancal.
Nouveau Projet, c'est du contenu original et de grande qualité, des privilèges exclusifs, et bien plus encore.
Achetez un accès à cet article ou activez dès maintenant votre abonnement à Nouveau Projet pour lire le reste de ce texte.
Déjà membre? Ouvrir une session.Il ne suffit pas toujours de surfer sur l’œuvre d’une romancière à succès pour faire du bon théâtre. C’est peut-être même parfois plus délicat.
Très attendu, le troisième ouvrage de Paul Kawczak confirme l’ambition de l’écrivain franco-québécois. Entre fable et mémoire, Le bonheur est un roman troublant, déroutant et profondément habité.
Les trentenaires et quarantenaires de 2025 en arrachent-elles plus que leurs grands-mères?
L’écrivain a enlevé le «in» de son prénom, bien qu’il ne l’ait jamais autant été. Populaire au possible, le lauréat du plus récent prix Médicis livre ici sa quatrième œuvre en carrière.