«Deux femmes en or»: de la débauche à la déprime
Les trentenaires et quarantenaires de 2025 en arrachent-elles plus que leurs grands-mères?
Très attendue, l’adaptation du bestseller de Michel Jean comporte quelques accrocs. On a parfois l’impression que les acteur·trice·s ne jouent pas dans le même spectacle.
C’est grâce à la plume de Laure Morali, en collaboration avec nulle autre que l’immense Joséphine Bacon, et à la mise en scène de la talentueuse Émilie Monnet que nous pouvons ces jours-ci assister à l’adaptation théâtrale de Kukum, de l’écrivain et journaliste Michel Jean. Empreinte d’une grande sensibilité, dotée d’une scénographie originale et d’une trame vidéo excellente, la pièce souffre toutefois du jeu mal dosé de certain·e·s interprètes, ainsi que d’un rythme parfois bancal.
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L’écrivain a enlevé le «in» de son prénom, bien qu’il ne l’ait jamais autant été. Populaire au possible, le lauréat du plus récent prix Médicis livre ici sa quatrième œuvre en carrière.
La Terre tourne autour de Ricardo, même lorsque Ricardo fait le tour du monde, dans ce nouveau film empreint de l’autodérision «feel-good» des trois précédents titres de la série.
Le Néoécossais se risque à une large palette de styles musicaux sur cet album homonyme audacieux, certes, mais qui manque grandement de cohésion.