Kev Lambert, «Les sentiers de neige»: un autre genre de «Ciné-cadeau»

Amélie Panneton
Photo: Julia Marois / Héliotrope
Publié le :
Critique

Kev Lambert, «Les sentiers de neige»: un autre genre de «Ciné-cadeau»

L’écrivain a enlevé le «in» de son prénom, bien qu’il ne l’ait jamais autant été. Populaire au possible, le lauréat du plus récent prix Médicis livre ici sa quatrième œuvre en carrière.

Dans chacun de ses livres, Kev Lambert déploie un monde et la langue pour le raconter: on pense à la plume foisonnante et ornée de Que notre joie demeure, aux luttes syndicales et aux colères capiteuses de Querelle de Roberval, à l’urgence explosive de Tu aimeras ce que tu as tué. Avec Les sentiers de neige, l’auteur offre un roman d’aventures où la narration, jamais loin de l’oralité, traduit la confusion, l’urgence et toutes les soifs d’imaginaire de l’enfance. 

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