Contenu commandité

Quatre raisons de s’établir dans Pointe-aux-Trembles

Publié le :
Présenté par

Quatre raisons de s’établir dans Pointe-aux-Trembles

À l’est de l’ile de Montréal, ce secteur méconnu, et plein de charme, va bientôt connaitre son deuxième printemps grâce à la Société de développement Angus.

Dirigé par l’urbaniste Stéphane Ricci, un fier Pointelier, le projet de revitalisation du Vieux Pointe-aux-Trembles mené par la SDA s’articule autour du cœur de l’ancien village. Il prévoit la construction de trois nouveaux bâtiments et la restauration de deux autres.

Voici quatre raisons de déménager dans le secteur en vue de la phase finale, qui sera livrée au printemps 2026.



Des loyers abordables

À l’heure où la crise du logement fait les manchettes et complique la vie de bien des gens, l’approche de la SDA donne espoir. L’entreprise se démarque des autres sociétés de développement immobilier à plusieurs égards, notamment en réservant la totalité des six étages supérieurs de ces nouvelles constructions à des logements abordables, en accord avec les barèmes établis par la Société d’habitation du Québec et la Société canadienne d’hypothèque et de logement. À titre indicatif, le prix d’un 4 ½ neuf y sera de 1275$ par mois. (Toute la charte des prix est affichée ici, en toute transparence.)

De plus, Stéphane Ricci précise que les locataires éligibles n’ont aucun souci à se faire en ce qui concerne la clause F—qui permet habituellement aux propriétaires de faire grimper le prix des appartements bâtis il y a moins de cinq ans d’un montant supérieur au taux d’augmentation maximal prévu par le TAL. «On n’aura pas le droit de faire ça ici. Tout a été paramétré avec le programme de la SHQ, y compris les hausses de loyer, qui sont fixées pour les cinq prochaines années.»



La beauté du paysage

Bordé par le fleuve Saint-Laurent, le projet s’ancre dans un décor enchanteur; il se situe à un jet de pierre du parc du Fort-de-Pointe-aux-Trembles, reconnu pour sa vue imprenable sur les iles de Boucherville et leur canopée d’arbres matures. Une véritable oasis de fraicheur! Chaque samedi d’été, un marché fermier s’y installe déjà par beau temps, pour le plus grand plaisir de ceux et celles qui viennent y piqueniquer.

On a presque l’impression de se trouver dans un village de campagne en déambulant près de l’église et du presbytère, bâtiments patrimoniaux qui ont aussi été acquis par la SDA et qui auront droit à une nouvelle vie. 

Si l’ancienne maison de Dieu est actuellement prêtée aux acrobates de La compagnie des autres, en mode «occupation transitoire», le lieu deviendra une salle de spectacles dédiée aux arts du cirque. «Pour ce qui est du presbytère, on souhaite en faire une table champêtre, précise Stéphane Ricci. On veut s’inspirer du bistro Côté Est, à Kamouraska.»



Les efforts déployés pour revitaliser le quartier

La poursuite du bien commun est au centre des démarches de Stéphane Ricci et du reste de l’équipe de la SDA qui œuvre actuellement dans Pointe-aux-Trembles. À preuve, des assemblées citoyennes ont été organisées très tôt dans le processus.

«On est sensibles au milieu et on veut consulter les gens de la place avant de poser des gestes. On s’assure de bien comprendre les impacts que ça va avoir sur les habitant·e·s du secteur et d’agir de manière responsable pour les minimiser. Pour améliorer la qualité de vie plutôt que de la détériorer.»

- Stéphane Ricci

Son objectif? Éviter la gentrification à tout prix. «L’une des façons d’y arriver, c’est de n’installer que des commerces locaux indépendants. D’ailleurs, la SDA va garder la propriété des espaces commerciaux pour s’assurer que cette vocation-là soit préservée.»

Parmi les commerces qui s’installent dans le secteur, on trouve une microbrasserie, deux restaurants, un café et une épicerie solidaire. «Cette dernière va répondre aux besoins de l’ensemble des citoyen·ne·s du quartier et l’approche solidaire fera en sorte que les gens dans le besoin pourront, grâce à certains programmes de subventions, accéder à un programme de bons de réduction pour des aliments frais.»



Les modes de transports actifs

Nul besoin, en déménageant dans Pointe-aux-Trembles, de se convertir à la culture du tout à l’auto. Bien que la station de métro la plus proche (Honoré-Beaugrand) se situe à quelque quinze minutes en voiture, le secteur est desservi par plusieurs circuits d’autobus de la STM pour lesquels des passages fréquents sont garantis. 

Il est aussi possible d’accéder au reste de Montréal par des pistes cyclables sécuritaires, près desquelles plusieurs bornes de Bixi ont été installées. Adepte d’autopartage? Sachez que les compagnies Communauto et Leo sont également bien implantées dans les environs. 

Mais ce qui distingue vraiment Pointe-aux-Trembles des autres secteurs de Montréal, en termes de déplacements et de qualité de vie, c’est son quai pour la navette fluviale. Aller au travail en bateau, voilà qui semble en tout point idyllique.


Un peu d’histoire…


Pointe-aux-Trembles est la deuxième plus ancienne paroisse de l’ile de Montréal. Elle a célébré son 350e anniversaire d’existence en 2024.

Longtemps, Pointe-aux-Trembles a été un lieu de villégiature prisé. Les gens de Montréal et des environs s’y rendaient pour y passer des vacances, en raison (forcément!) de son décor enchanteur, de l’accès au fleuve et des nombreuses auberges qui pouvaient jadis héberger les touristes.

L’histoire culturelle du secteur est aussi extrêmement riche et des plus surprenantes. C’est en effet dans Pointe-aux-Trembles que s’est installée une des toutes premières troupes de théâtre francophone au Québec, celle des frères Delvecchio, venus de New York. «C’était un théâtre d’acrobaties et de bouffonnerie, qui ressemblait beaucoup aux arts du cirque d’aujourd’hui», conclut Stéphane Ricci, sourire en coin.


La Société de développement Angus est une entreprise d’économie sociale réalisant des projets immobiliers qui favorisent la revitalisation urbaine en s’appuyant sur les principes de développement durable et en générant des retombées significatives pour la collectivité locale.


Texte commandé par la Société de développement Angus pour le Studio A10 dans le respect de ses lignes directrices.

Pour consulter les autres articles collaboratifs: atelier10.ca/nouveauprojet/type/partenaire

Continuez sur ce sujet

Atelier 10 dans votre boite courriel
S'abonner à nos infolettres